[Theories Tournament : Second Clash] Topic des votes dans Club | Pokémon Trash
[Theories Tournament : Second Clash] Topic des votes
Phénix - 3 mars 2012 à 17:16
A l'attention de tous les personnes tentées de voter lors du scrutin du Theories Tournament : Second Clash, voici le sujet où la procédure de vote est clairement expliquée et où tous les votes seront comptabilisés : tout commentaire vis-à-vis du système de vote ou vis-à-vis des résultats sera exprimé sur le sujet principal.
Le round rules
A chaque round sera donnée une théorie et une seule théorie commune à tous les participants. Bien que je ne sois pas un sadique reconnu, sachez néanmoins le niveau des sujets ira crescendo au fil des rounds et qu'aucune négociation quant au sujet n'est possible. De mon côté, je ferais en sorte que le sujet soit aussi clair que possible.
Concernant la deadline : en plus du sujet sera donnée une date limite à laquelle tous les participants m'auront envoyé par MP leur réponse donnée au sujet. Cette deadline sera de deux semaines après la publication des résultats du round précédent.
Comme dit précédemment, aucune règle n'est fixée quant à la manière de rédiger ou de mettre en forme votre texte, l'utilisation d'images pour illustrer votre propos étant également acceptée. Naturellement, tout ceci doit malgré tout suivre les règles de bienséance de base.
Les candidats possèdent un droit de publication intégral sur leur composition : si vous voulez la publier sur un autre site, libre à vous de le faire. Cependant, indiquez qu'il a été rédigé à l'occasion du Theories Tournament, ça serait sympa de votre part.
Une fois obtenues, les réponses seront publiées anonymement sur le sujet dans une logique d'impartialité, du moins pour les premiers rounds, le but étant de minimiser les impacts dus à la provenance et/ou à la réputation de certains membres. L'identité des vainqueurs ne sera dévoilée qu'à la fin du round, les candidats sont donc priés de garder le silence là-dessus.
Toute activité visant à corrompre les votants est comme d'habitude prohibée.
Phénix - 3 mars 2012 à 17:25
Le voting rules
A présent, voici comment va se dérouler le vote à proprement parler.
Lors du scrutin, chaque candidat poste une liste qui devra suivre la forme suivante.
Pseudo
Je vote pour :
Sujet Alpha
Sujet Bêta
Sujet Gamma
...
Vous ne pouvez que pour X candidats par round, X étant le nombre de candidats encore en lice divisé par deux et arrondi à l'unité inférieure.
Les votes seront clos une semaine après la publication des théories. Les deux candidats dont les sujets auront reçus le moins de suffrages seront ceux qui seront éliminés.
Dans le cas où certaines personnes ne remettent pas leur composition au-delà de la deadline, ils sont automatiquement éliminés de la partie, ce qui paraît tout à fait normal. L'élimination de deux candidats ou plus à cause de cette règle n'empêchera évidemment pas deux personnes de se faire éliminer suite au vote.
Dernier point : il est inutile de venir rager après les résultats sous prétexte que votre théorie serait mieux écrite ou je-ne-sais-quoi-d'autre.
Phénix - 3 mars 2012 à 17:30
The liste des participants (inscriptions en cours)
Phénix
Theris
Ultimateyoshi
Efferalgan
Liger
Trailokiavijaya
Dark-Evoli
Sainior
Answer
Djaän Meryo
Vico
Flex'
LouisLeRoux
Phénix - 3 mars 2012 à 17:31
Les résultats round par round
Phénix - 3 mars 2012 à 17:31
Début de la zone démilitarisée de tout rageux
Phénix - 29 mars 2012 à 07:57
Voici donc les textes publiés à l'occasion du premier round du concours.
Sujet : Tropius
[spoiler=Sujet Alpha]Introduction
Tropius est assurément l'un des Pokémon les plus mystérieux actuellement. Tout d'abord parce que sa morphologie rappelle celle des reptiles qui autrefois dominèrent le monde, mais également parce que son corps présente des caractéristiques surprenantes : c'est à cela que nous allons nous intéresser ici.
I - Etude du physique de Tropius.
Puisse que c'est ce qui intéresse, nous allons commencer par une étude superficielles de son corps.
1) : Couleurs
Le corps de Tropius dispose de trois couleur différentes : du marron, qui peut renvoyer à ses probables ancêtres les dinosaures ; du vert, qui nous rappelle son statut d'herbivore ; du jaune, qui pourrait être assimilé à la couleur du fruit qu'il affectionne.
2) : Morphologie
Nous pouvons remarquer deux particularités de la structure du corps de Tropius : un très long coup, signe que son ancêtre était probablement un Diplodocus, et un bassin plutôt bas par rapport au reste du corps.
3) : Particularités du corps
Tropius est "décoré" d'éléments un peu particuliers : des feuilles ornent son buste et lui servent d'ailes et ce qui ressemble à des fruits semblent pousser depuis son cou.
II - D'après le Pokédex
Ouais, le Pokédex nous balançe d'énormes conneries, cependant il faut impérativement les prendre en compte.
Voyons donc ce qu'ils disent au sujet de Tropius.
Rubis - "Les enfants adorent les fruits autour du cou de TROPIUS. Apparemment, son penchant pour les fruits l'a conduit à en faire pousser sur son propre corps. Il les aime tant qu'il en mange sans arrêt."
Saphir - "Les enfants des tropiques mangent les fruits qui poussent autour du cou de TROPIUS pour leur goûter. Ce Pokémon peut voler en agitant les feuilles situées sur son dos comme s'il s'agissait d'ailes."
Emeraude - "Il vole en secouant ses larges ailes. Les fruits qui poussent autour de son cou sont doux et délicieux. Au printemps, il sort du pollen de son cou."
Rouge Feu / Vert Feuille - "TROPIUS vit dans les jungles tropicales. Les fruits qui poussent tout autour de son cou sont succulents et poussent deux fois dans l'année."
Diamant, Perle, Platine, Noire, Blanche - "À force de toujours manger le même fruit succulent, il en pousse à la base de son cou."
HeartGold / SoulSilver - "Les succulents fruits de son cou poussent deux fois l’an et font le régal des enfants des tropiques."
Nous pouvons voir, par le biais de ces descriptions, qu'un légende urbaine en particulier revient souvent : les fruits de Tropius seraient poussé sur son cou après que ce dernier en ait avalé une grande quantité. Pourquoi pas, cependant, ce sujet mériterait d'être examiné en profondeur.
III - La Théorie
En vérité, c'est une réaction naturelle de son organisme.
Il est dit, selon des légendes urbaines, que les Tropius vivaient jadis sur une île aux caractéristiques particulières. Parmi celles-ci, l'on pouvait trouver ce fruit, qui poussait uniquement sur ce petit bout de terre. Il serait resté longtemps la seule nourriture des Tropius.
C'est là que le corps intervient. Après avoir passé tant d'années à ne se sustenter que de ces petits fruits, l'organisme du Tropius va commencer à les reconnaitre et à l'imiter. Les graines des fruits qu'il a avalé en masse vont commencer à germer jusqu'à devenir des fruits en bonne et due forme. Il va alors entamer un système de survie.
"Mdrre koi un system de survi ? il peut mem pa boufé sé propre frui se boufon, en koi sa va lédé ?"
Tg et laisse parler les grands, petit pédé.
Il est dit dans sa description du Pokédex d'Emeraude qu'au Printemps, du pollen sortirait de ses fruits. Par ce fait, de nouveau arbres pousseront, des arbres qui donneront à leur tour ces succulents fruits.
Vous ne voyez toujours pas où je veux en venir ? ...
Rappellez-vous : ces fruits ne poussent que sur la petite île où vivaient les Tropius à l'origine.
Et ouais, vous avez pigé, c'est bien, putain vous êtes longs. Grâce à la présence de ses fruits sur son cou et du pollen qui s'en échappe, ce végétal prend racine dans d'autres endroits que sur l'île natale de Tropius : autrement dit, l'espèce est ainsi perpétuée grâce à la présence de ces "bananes", leur unique source de nourriture, et les Tropius peuvent commencer à vivre ailleurs.
Conclusion
La nature ne fait rien par hasard. Nous autres, humains, avons la technologie, mais n'avons pas connaissance du corps, de la vie, de la nature. Le cas de Tropius n'est qu'une preuve parmi tant d'autres que la vie est quand même bien foutue.
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[spoiler=Sujet Bêta]
Tropius est un Pokémon dont la particularité principale est de faire pousser des fruits autour de son cou. Ce phénomène curieux n'a au premier abord aucune raison d'être, ne participant certainement pas à la survie de l'espèce et gaspillant des ressources en nutriments de l'animal.
Observons en premier lieu le phénomène biologique conduisant à la production de tropibabanes sur son cou.
Tropius est un Pokémon ruminant, c'est-à-dire qu'il dispose d'un estomac disposé en plusieurs compartiments chargés de préparer la nourriture ingurgitée par celui-ci. L'estomac de Tropius se distingue d'autres ruminants par la présence d'un compartiment destiné particulièrement à l'ingurgitation de tropibananes. Celui-ci, par un jeu d'acides, parvient à sélectionner les pépins contenus dans le fruit et à les expédier dans un intestin dédié qui mixera ceux-ci avec des excréments assurant une très grande fertilité. De ce fait, le Tropius est assuré de disposer dans son environnement de fruits convenant parfaitement à son mode de vie et à ses besoins en nutriments.
Le phénomène est cependant loin d'être parfait.
Il arrive que les pépins ne soient pas correctement digérés et se retrouvent expulsés dans la bouche pour la rmination. Cette étape provoque généralement un réflexe de contraction au niveau du pharynx, bloquant les pépins. Ce réflexe a pour conséquence l'enfoncement des pépins dans des artères qui servent probablement à cet unique but. Les pépins peuvent être poussés encore et encore, et finissent généralement par être expulsés de l'artère, tout en restant en partie retenu à la peau.
C'est à cette étape que le pépin germe.
Bien sûr, la germination ne produit pas un tropibananier comme on se l'entend. Du fait de l'environnement.... inhabituel, la germination est très incomplète et conduit à la floraison d'un unique ensemble de fruits., formant le collier très connu chez le Tropius.
Pourquoi un tel phénotype a-t-il été conservé chez les Tropius, me demanderez-vous ?
Il apparaît que les Tropius ne possédant pas le collier de fruits ne trouvent pas de partenaires. Par un truchement de l'esprit, l'abondance de fruits chez le Tropius est devenu pour la femelle un signe de bonne vie, d'abondance et de fertilité. Le fait qu'un Tropius nourri incorrectement ou trop peu ne développe généralement pas de fruits à son cou est un signe allant dans ce sens.
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[spoiler=Sujet Gamma]
Les enfants adorent les fruits autour du cou de TROPIUS. Apparemment, son penchant pour les fruits l'a conduit à en faire pousser sur son propre corps. Il les aime tant qu'il en mange sans arrêt.
Interrogeons-nous : quels êtres vivants font pousser des fruits ? Les plantes. Certaines plantes tout du moins. Comme est-ce possible alors ? Certains Pokémon sont des plantes, mais possède les caractèristiques des animaux : ils se déplacent et se nourissent de manière organique. Comment expliquer des animaux mi-plante, mi-animaux alors ? Très simple, un Pokémon préhistorique animal à pu développer sur son corps un terreau permettant à une plante de pousser sur lui. Ce Pokémon s'est répandu sur la surface et permettait à des espèces de plante de proliférer sur lui. Sans effet au début, les plantes ont peu à peu altéré l'adn de l'animal jusqu'à entrainer une fusion des deux programmes génétiques. Le bébé pokémon développait alors naturellement une plante sur son dos. Au fil des générations, les Pokémon ont évolués jusqu'à prendre la forme de la plante que leurs ancêtres avaient accueillit sur leur dos. Et c'est ainsi que son nés les Pokémon plante. Tous les individus des espèces n'ont pas pu rejoindre le dos de l'animal préhistorique et sont donc restés à l'état végétal.
Tropius est un animal-plante qui possède les caractéristiques des deux règnes, tout comme les autres Pokémon plantes connus à ce jour.
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Tropius, c’est un peu le Pokémon qu’on a tous rêvé d’avoir. Au milieu des Posipi, des Kecleons et d’autres bestioles qui t’arrivaient à l’entre-jambe, un jour tu tombais fatalement sur CA. UN DINOSAURE, UN VRAI DE VRAI, DE DEUX METRES DE HAUT MÊME. Je sais pas vous, mais cette bêbête s’inscrit facile dans mon top 10 des Pokémon Plantes. Mais ce n’est pas le sujet, ici on est entre scientifiques, notre dada c’est d’expliquer les trucs les plus irrationnels que l’on trouve dans le Pokémonde avec une démonstration à faire pâlir d’envie Andrew Wiles. On va se concentrer sur deux particularités du bestiau :
1- Des fruits qui poussent sur un animal, DAFUQ IZ THAT ?
2- Le fait que 100 kilos de graisse arrive à apprendre la sacro-sainte CS Vol.
I. Oh look, a banana !
La description de Tropius dans le Pokédex est sans appel : «A force de manger son fruit préféré, il a fini par pousser autour de son cou.». Lesdits fruits sont d’ailleurs visibles sur la bestiole et ressemblent aux bananes de chez nous. Ainsi donc un être fait de chair et de sang serait capable d’absorber les gènes d’une plante pour se l’approprier et faire naturellement pousser sur son menton une grappe de fruits de cette même plante ? Force nous est de reconnaître que oui, mais ne vous en faite pas, il y a une explication à tout et je vais vous le prouver en trois points.
a) Un organisme mi-végétal, mi-animal
Oui vous avez bien lu le titre. A l’instar de la Mesodinium chamaeleon, un protozoaire aquatique, Tropius possède un génome à la fois animal et végétal. Ainsi donc, la formation de l’embryon dans l’œuvre se divise en trois parties, distinctes :
La formation de l’animal en lui-même : à savoir les parties organiques où le sang coule, soit près de 95 % du volume de la bête.
La « pousse » préliminaire de minuscules feuilles sur le dos, le collet et la tête du spécimen. Pour permettre cela, la mère du petit a du utiliser un autre mécanisme particulier de son métabolisme que l’on va voir dans deux minutes.
La liaison des deux parties par un bricolage au niveau des couches supérieures de l’animal, permettant aux réseaux de cellules végétales et aux veines de se livrer à un commerce d’énergie sur lequel on reviendra.
Ainsi donc le décor est planté, le fruit ingéré par Tropius peut trouver chaussure à son pied dans les différentes « zones vertes » de l’animal.
b) Un double-estomac sélectif
Évidemment, une plante a besoin des nutriments naturels contenus dans la terre pour pousser, voilà pourquoi le bidon du dinosaure imite celui de la vache en se séparant en deux compartiments bien distincts. L’un sert à digérer les plantes et les petits insectes dont notre ami fait sa pitance quotidienne, en bon omnivore. L’autre à un rôle plus atypique : il ne peut traiter que le terreau que Tropius lui envoie (on suppose que, par instinct, la bête contracte sa gorge pour rediriger la terre qu’elle avale). Ce concentré de nutriment va se dissoudre dans des sucs gastriques prévus à cet effet et envoyés dans le sang. Comme le concept de circuit fermé n’existe pas dans le monde animal, les nutriments vont finir par se retrouver dans les zones « de contact » avec la partie végétale de Tropius. Ils vont ensuite y être attirés pour être équitablement consommé par toute la feuille. Une bonne métaphore serait de considérer le bestiau comme une racine mobile. Notez que cette relation est à double-sens, l’énergie solaire accumulée par la chlorophylle des plantes passant dans l’organisme du Pokémon.
Avant de concevoir, la femelle Tropius (la Tropiette ?) ingère de grandes quantités de terreau qu’elle intégrera dans son œuf, afin de permettre à son petit de développer sa partie végétale. Le développement des plantes et des futurs fruits de l’organisme est donc assuré.
c) Une assimilation progressive des aliments ingérés
« Tu es ce que tu manges » dit le proverbe. Il a été récemment démontré que l’ADN d’aliments tels que le grain de riz passait dans notre organisme lors de la digestion. Pour Tropius, ce phénomène se retrouve grandement amélioré. Pendant les premières années de sa vie, l’enfant va se nourrir quotidiennement de fruit, et très généralement de bananes. Pourquoi ce fruit en particulier ? Tout simplement parce qu’il se retrouve en grande quantité dans les régions tropicales où des troupeaux de Tropius vivent, et qu’il est de tradition pour un parent de faire goûter sa banane à son gosse. Toutefois, des cas d’animaux ayant assimilés d’autres fruits tels que les pommes, ou les raisins ont déjà étés observés.
Ainsi donc, à force de manger le même type de fruit, l’organisme va complètement mémoriser l’ADN et va donc envoyer ces informations dans une zone bien précise du corps : la base du menton. Cette zone facilite la garde des fruits par le Pokémon et protège donc ce dernier des vols des Insectes trop aventureux. Là, l’ADN va lentement s’installer dans des cellules sans noyau, va peu à peu se dupliquer, grandir… pour finalement donner une petite grappe de fruit grandeur nature !
d) Résumé pour les feignasses
Comme je sais que les histoires les plus courtes sont les meilleurs et que la moitié d’entre vous auront abandonnés au bout du deuxième paragraphe, voici un rapide bilan en quelques points de ce qui a été dit pour expliquer les bananes scotchés à notre Pokémon préférés :
Un organisme mi-végétal, mi-animal
Un double-estomac permettant la venue de nutriments naturels dans les cellules végétales, et un don d’énergie solaire dans l’autre sens.
Une assimilation de l’ADN d’un fruit particulier en raison d’un régime quotidien de ce dernier ingéré.
Pas le temps de souffler, on passe direct à la deuxième partie.
II. I believe I can fly
L’une des particularités qui font de Tropius un dinosaure kick-ass c’est que, en plus de servir de bananier mobile pour les fêtes à thème tropical, il puisse également soulever sa centaine de kilos pour s’envoler gracieusement. Nul besoin de démonstration scientifique dans ce cas-là, on préféra le récit d’un membre de La T.S.T. (Tropius Secourism Troup), spécialisé dans le vol à dos de Tropius dans le cas d’intervention rapides en milieu hostile.
On vient de recevoir un appel de niveau 2 : un petit groupe de Dresseur se voit dans l’incapacité de rallier le gîte le plus proche dans la forêt de Cimetronelle pour cause de destruction de leurs bicyclettes par un troupeau de Zigzaton en migration. Il s’agit de leur apporter couvertures et vivres afin de leur permettre de passer la nuit sans encombre. J’embarque un kit de survie et je me dirige vers les enclos pour voir les bêtes à disposition, et je tombe sur un spécimen en pleine possession de ses moyens, parfait pour une mission d’intervention rapide. Je l’emmène avec moi vers la piste.
Je checke la direction du vent, sud-sud-ouest, c’est plutôt bon. Ca évitera d’utiliser le matériel artificiel de propulsion pour décoller. J’accroche la selle sur le dos du Tropius sélectionné et je grimpe dessus. Devant moi, 500 mètres de pistes dégagées. Je fais une rapide vérification des capacités de ma monture en lui pinçant les tendons reliés à ses « ailes ». Il réagit en pliant légèrement le bout de ses feuilles, tout semble OK, je suis prêt à décoller. D’une petite tape sur l’encolure, je lui fais savoir qu’il peut foncer, le vent souffle toujours. Il commence à trottiner.
Plus les mètres défilent, plus je sens que notre vitesse accélère.  u coin de l’œil j’aperçois les feuilles dorsales bombées afin d’obtenir plus d’aspiration. Je regarde le compteur de vitesse intégré dans la selle : le Tropius est prêt de sa vitesse de pointe, 75 km/heure. Son cou se tend pour faciliter l’aérodynamisme, et je me colle à son dos pour ne pas le ralentir. Les vibrations engendrées par chacun de ses pas se répercutent dans mon corps, jusqu’à ce que je ne les sente plus. Je me penche pour vérifier ma pensée, et je constate que l’on a quitté le sol et que l’on plane à 3 mètres du sol. La phase la plus difficile est passée. Ma monture détecte les courants ascendants avec ses cinq sens et s’incline légèrement pour gagner de l’altitude. En moins de deux minutes, on plane à près de 500 mètres du sol.
C’est à mon tour d’entrer en scène. J’exerce une pression sur les rênes pour signaler à mon partenaire de virer vers la gauche, et je déclenche mon GPS afin de détecter les Pokédex passés en mode « détresse ». Trois points rouges s’affichent sur la mini-carte, à quelques kilomètres d’ici. J’y serais en quelques minutes en m’abaissant à une hauteur de 50 mètres afin de leur lancer le matériel de survie, j’ai été entraîné à cette manœuvre que je réussis maintenant à chaque fois.
L’objectif est rempli, je fais savoir au Tropius qu’il peut regagner de l’altitude et se remettre en direction du QG, mon service est terminé. »
Il serait barbare de dénaturer ce témoignage en le réduisant à quelques lignes froides écrites dans une optique de science pure, ainsi je vous invite à le lire au complet afin de vous mettre dans la peau d’un de ces secouristes de la T.S.T. qui ont fait de leur passion pour ces glorieuses créatures leur métier.
Il est de bon goût de finir sur une note humoristique, ainsi je vous invite à lire ce condensé d’information qui vous expliquera pourquoi Tropius et un Pokémon incontournable dans cet univers :
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[spoiler=Sujet Delta]
Voila ma participation :
Tropius
I – Description
Comme vous pouvez vous en doutez, Tropius est un pokémon, plus particulièrement un pokémon de type plante et vol.
Sa description dans le pokédex est principalement « A force de manger son fruit préféré, il a fini par pousser autour de son cou. » mais également « Les succulents fruits de son cou poussent deux fois l'an et font le régal des enfants des tropiques. ».
La question que l'on peut alors légitimement se poser est : quels informations peut on tirer de cela ?
Pour une fois, l'équipe de traduction de chez Nintendo n'a pas fait d'erreurs à première vue, cela va bien nous simplifier la tâche.
Nous apprenons donc que Tropius est un pokémon se nourrissant de fruits (donc, les pokémons ne mangent pas que des boulettes), et que ces dits fruits se sont mis à pousser sur son cou.
Notre bestiole.
Nettement plus simple à mes yeux de l'étudier en le voyant, non ?
Nous pouvons voir des ailes (Tropius est de type vol, ne l'oublions pas !), en forme de feuille d'arbre (de bananier pour être plus exacte), et les fruits évoqués dans sa description ne sont autre que des bananes !
« Mais alors, comment ça se fait qu'un pokémon se retrouve avec des bananes ? »
**II – Les bananes **
Rappelez vous vos cours sur l'évolution des espèces. Ca remonte à loin non ? Vous n'aviez qu'à suivre au lieu de draguer cette fameuse blonde devant vous pendant le cours de SVT. Tsss.
Heureusement, je suis un élève sérieux, je vais vous faire un synopsis.
Au départ de l'évolution, il n'y avait qu'une espèce. Une seul espèce qui donne aujourd'hui tout la diversité animale et végétale. Donc, vous êtes les cousins éloignés des fourmis.
Pour illustrer mes propos, voici une image explicative :
L'évolution du cheval !
Le monde pokémon devant se dérouler dans un monde le plus ressemblant au notre, il serait donc normal que l'évolution similaire, non ?
Cela voudrait donc dire que l'ancètre de Tropius serait de la même famille que la banane, et cela expliquerait tout. Vous ne suivez pas ?
Je vais vous expliquer :
Soit X l’ancêtre de Tropius.
Nous savons que X consomme beaucoup, voire même énormément de bananes, visiblement présentes en grand nombre dans son milieu de vie.
Imaginons ensuite qu'un jour, une anomalie chromosomique soit arrivée à un X, ici l'absence d'un chromosome. Un des chromosomes de la banane aurait alors pris sa place, et X se serait alors petit à petit transformé, jusqu'à notre actuel Tropius.
Fin.
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[spoiler=Sujet Epsilon]
[quote]
Tropius est un Pokémon qui a déjà fasciné bon nombre de joueurs lors de leur première partie sur Rubis, Saphir ou Emeraude. En effet, l'aspect imposant du Pokémon – qui dit imposant dit en général puissant – pouvait parfois désorienter le gamer qui le rencontrait :
« Woh, il est géant ce Pokémon, il doit être trop puissant ! »
Quelle était notre déception, lorsqu'après une capture et quelques combats nous nous rendions à l'évidence : ce Pokémon ne présente pas plus d'intérêt au combat qu'un Spinda ou un Seviper...
Après une courte introduction nostalgique, je vous propose de nous pencher sur la morphologie de notre cher Tropius. En effet, bien que ses talents de combattant ne soient pas très évolués, on retrouve chez lui une caractéristique unique, que l'on ne peut observer sur les autres Pokémon : il semble pousser des fruits exotiques sous sa mâchoire. L'explication du Pokédex étant comme d'habitude aussi vague que les histoires paranormales concernant le Big Foot, je vous propose de la décortiquer avant de nous lancer dans nos hypothèses ô combien passionnantes.
« À force de toujours manger le même fruit succulent, il en pousse à la base de son cou. »
Pokédex des versions Noire et Blanche
Intéressant, en une seule ligne, le Pokédex des derniers jeux parus nous sert une version améliorée des syndromes d'une surconsommation de carotène. Cela peut évidemment paraître capilotracté, dit comme ça, néanmoins, cela pourrait être l'objet d'une de nos suppositions.
« Il vole en secouant ses larges ailes. Les fruits qui poussent autour de son cou sont doux et délicieux. Au printemps, il sort du pollen de son cou. »
Pokédex de la version Emeraude
Ici, seule la dernière phrase est réellement exploitable : « au printemps, il sort du pollen de son cou ». Cela nous fait bien évidemment penser au phénomène très connu de la pollinisation. Les abeilles, en plus de fabriquer le miel, participent énormément à la reproduction végétale. A tel point que leur disparition serait dangereuse ; on peut donc faire un parallèle entre le rôle de ces abeilles, vital, et le rôle que pourraient avoir les Tropius. Cela fera l'objet d'une deuxième supposition.
I- La surconsommation, une première hypothèse
« À force de toujours manger le même fruit succulent, il en pousse à la base de son cou. »
Pokédex des versions Noire et Blanche
Il est explicitement dit que Tropius aime tellement les fruits exotiques qu'il finit par en pousser sous sa tête. J'aimerais faire le parallèle de ce phénomène avec notre propre monde, dans lequel une surconsommation de carotène peut engendrer un jaunissement du teint d'un être humain. De même, les flamants roses obtiennent leur couleur particulière en mangeant des crustacés, et plus particulièrement des artemias, riches en carotène. Ce fait est notamment démontré par les jeunes flamants qui n'ont rien de rose ; plus tard, à force de s'alimenter, ils prendront cette couleur.
Tropius serait alors victime de ce phénomène, mais à un stade bien plus avancé. En mangeant des fruits tropicaux à longueur de journée, ceux-ci engendreraient une pousse directement sur le Pokémon. En revanche, les jeunes Tropius n'auraient donc pas de fruit sur eux.
De plus, j'aimerais revenir au carotène, notamment à une de ses particularités. Wikipédia saura vous éclairer :
« Le carotène ne contribue pas activement à la photosynthèse mais absorbe le trop plein d'énergie de la chlorophylle afin d'éviter la formation d'espèces réactives oxygénées (superoxyde O2• -, oxygène singulet •O-O•, hydroxyle HO•) qui détruiraient la feuille. »
Cette matière aurait pour propriété de protéger la feuille d'un végétal lors de la photosyntèse. Tropius étant composé de végétaux, ou tout du mois étant de type PLANTE, on en déduit que la consommation des fameux fruits aurait un intérêt préventif s'ils étaient du même acabit que le carotène. De même que cette matière-ci, les fruits protégeraient Tropius lors d'une surproduction d'énergie engendrée par la photosynthèse.
II- Le phénomène de la pollinisation
« Il vole en secouant ses larges ailes. Les fruits qui poussent autour de son cou sont doux et délicieux. Au printemps, il sort du pollen de son cou. »
Pokédex de la version Emeraude
Vous connaissez surement tous la pollinisation. Les petits insectes comme les abeilles transportent le pollen des végétaux qu'ils explorent pour aller le déposer sur une autre plante, afin de la féconder. C'est un mode de reproduction très courant, et très important pour la survie des espèces végétales. Ainsi, la disparition des abeilles ne passerait surement pas inaperçue. La rumeur voudrait qu'Albert Einstein lui-même ait dit : « Si l’abeille disparaissait de la surface du globe, l’homme n’aurait plus que quatre années à vivre », bien que la provenance et la véracité de cette citation n'aient jamais été démontrées.
Tropius aurait donc un rôle de pollinisateur ; le pollen sort de son coup, et se répand partout autour de lui, afin de féconder les fleurs du végétal produisant les fruits exotiques qu'il adore. La chronologie semble respectée, étant donné qu'il est dit que ce phénomène se produit au printemps.
La disparition du Tropius engendrerait presque à coup sûr la disparition de l'espèce végétale produisant les fruits tropicaux, étant donné qu'il est apparemment le seul Pokémon à avoir la faculté de polliniser les fleurs.
En conclusion, on peut sans conteste affirmer que Tropius est un Pokémon intriguant. Ses fruits poussent carrément sur lui, et semblent avoir des effets bienfaisants : ils protègent les feuilles du Pokémon et servent à produire du pollen qui aura pour mission de féconder et perpétuer l'espèce. Afin de ne courir aucun risque quant à l'hypothèse de la disparition des fruits exotiques, je vous conseille vivement de ne pas capturer trop de Tropius.
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[spoiler=Sujet Eta]
Le soleil point derrière les derniers nuages hivernaux, le vent se tait, le mercure remonte dans son tube de verre, les oiseaux gazouillent, les cerisiers fleurissent, les Marcacrin troquent leur blanc pelage hivernal contre une livrée plus légère, les Shaymin sortent de leur hibernation. Le printemps est de retour. Cette période de l'année, synonyme de renaissance et de renouveau, porteuse d'un message d'espoir, uniquement troublée par la sortie d'un nouveau CD de Madonna, marque également le retour des Tropius, qui quittent les tropiques par milliers pour retrouver plus au nord un climat tempéré.
Si la vision de ces monstres volants pouvant atteindre les 100kg a pu, dans les temps anciens, générer de véritables scènes de panique, le phénomène migratoire est aujourd'hui bien assimilé par la plupart des peuples, qui n'en sont pas pour autant plus rassurés. Le survol d'une ville par un de ces troupeaux impose souvent à ses habitants un grand nettoyage des rues et des toits, et quelques séjours à l'hôpital pour les imprudents qui ne s'étaient pas abrités à temps. On a même recensé quelques cas de toitures abimées.
Non, le Tropius ne se pose pas pour faire ses besoins. Il sème à tous vents. Certains ont bien essayé de descendre les troupeaux en vol pour résoudre le problème, mais après que les premiers diplodocus volants se soient abattus à pleine vitesse sur les habitations, le projet a rapidement été abandonné.
Néanmoins, malgré ces quelques inconvénients mineurs, le Tropius reste fortement apprécié, non pas pour sa chair, filandreuse, dure comme du bois, extrêmement longue à cuire, et susceptible de s'enflammer au moindre moment d'inattention, mais pour les fruits qu'il porte à son cou, délicieux et sucrés.
 es fruits qui poussent sur un animal ? Quelle étrange idée ! Et pourtant. De nombreuses théories abracadabrantes on vu le jour pour tenter d'expliquer ce phénomène, et aujourd'hui, s'il n'est pas parfaitement compris, de nombreuses pistes nous ont mené à ce qui nous semble être une explication rationnelle.
I- Quels avantages à porter des bananes ?
Avant de chercher à comprendre comment Tropis produit ses bananes, il convient de s'interroger sur le pourquoi. Quels mécanismes évolutifs ont bien pu conduire à la production, par des diplodocus nains volants, de bananes ?
Tout d'abord, ces bananes constituent une source d'énergie non négligeable, utilisable à tout moment, et notamment au cours des longs vols migratoires, au moment des survols d'océans ou de déserts, quand la nourriture ses fait rare. Et, en effet, les deux périodes de l'année où les fruits poussent coïncident avec les périodes migratoires.
Les bananes constituent également un caractère sexuel secondaire très important : les femelles, moins résistantes et plus facilement fatiguées par le voyage, se rapprochent naturellement des mâles au cou le plus garni, qui seront à même de les nourrir, et de meilleure constitution que les autres puisque n'ayant pas eu besoin de piocher dans leurs propres réserves. Ces fruits sont ainsi à la base des attaques Passe-Cadeau, Don Naturel, Doux Parfum, Force Nature, et Attraction, qui sont, somme toute, des moyens efficaces d'attirer les femelles. Les bananes ne doivent alors pas seulement être nourrissantes. Elles doivent aussi être en quantités suffisantes, avoir la même couleur que celles qui poussent dans les arbres et dont les Tropius sont friands, sentir bon,...
On a observé que la 2ème récolte de fruits était systématiquement beaucoup plus importante que la première, avec des fruits beaucoup plus laiteux et mous : une fois les couples formés, après s'être accouplés dans les plaines fertiles et recouvertes d'herbe grasse, et avoir mis bas, les Tropius entament le voyage retour vers la forêt tropicale, par un trajet plus long et parsemé de beaucoup plus d'étapes. Les nouveaux-nés doivent en effet se nourrir à intervalles réguliers au cou de leurs parents, et ne peuvent endurer d'aussi longues étapes que leurs aînés.
Enfin, ces fruits servent aussi de protection pour les Tropius qui, malgré leur gabarit imposant, ne sont pas exempts de prédateurs. À chaque étape de leur migration, à chaque pause, de nombreux frugivores s'approchent du troupeau pour récupérer les fruits tombés au sol. Plus petits, ces Pokémon sont aussi beaucoup plus alertes : les voir soudainement s'égayer signale au troupeau de Tropius la présence d'un prédateur et marque donc le signal de l'envol.
Une fois les fruits pourris, ils permettent aussi à Tropius une unique utilisation de Bomb-Beurk. Certains scientifiques, enfin, avancent que ces fruits pourraient servir à distraire un prédateur, lorsque le Tropius s'en sépare pendant sa fuite, à la façon de la capacité d'autotomie de certains lézards. Rien ne nous permet cependant de l'affirmer, et je n'y prête pour ma part qu'un crédit très faible dans la mesure où le Prof. Qat, à l'origine ce cette théorie, affirme aussi que les Tadmorv sont en fait des tas de déchets radioactifs amenés à la vie par des rayons X en provenance de la lune. Le pauvre fou.
II - L'origine des fruits
Ses fruits jouent donc un rôle très important pour la survie et la reproduction du Tropius. Mais d'où viennent-ils ? Comment les produit-il ? Il faut bien voir qu'un Tropius pourrait, théoriquement, se reproduire avec un Florizarre ou un Noadkoko, ce qui est un bon indicateur de leur proximité génétique. Il est donc fort probable qu'il ait hérité de leur capacité à générer de fruits (Noadkoko) et à les nourrir avec son propre corps (Florizarre). Comme pour ce dernier, une bonne exposition au soleil est indispensable pour la production de fruits par Tropius : ses trois capacités spéciales en dépendent, ainsi que sa faculté de Synthèse.
Il semblerait que Tropius dispose d'une poche sous la gorge dans laquelle il stocke certaines des graines qu'il ingère, et qui leur offre un terrain idéal pour leur croissance, à la manière d'une sorte d'utérus végétal. Une température élevée, un fort taux d'humidité, beaucoup de soleil, et, en guise de terreau, un mélange hypernutritif à base de végétaux qu'il mange et de son propre sang, comme les flamants roses le font avec leurs nouveaux-nés.
Les quantités et le dosage de ce liquide varient selon la saison, afin de ne permettre aux fruits de se développer qu'au moment que le Tropius jugera propice.
Il semble, enfin, que la consommation importante de bananes influe sur la coloration du Tropius : à la manière du flamant rose qui tire sa pigmentation des crevettes qu'il mange (oui je suis très axé flamants roses aujourd'hui), ou des dendrobates dont la toxicité est le résultat d'une alimentation à base de plantes empoisonnées, les pieds de Tropius se colorent en jaune, couleur des bananes, s'il en consomme suffisamment. Ce trait est également partagé par les déclinaisons chromatiques de Tropius, et forme un bon indicateur de leur état de santé, et rend leur maintien en captivité bien plus aisé.
Il a les ongles jaunes aussi. C'est fou.
III - Les utilisations industrielles
Il convient à présent de s'intéresser aux utilisations éventuelles de Tropius dans l'industrie agroalimentaire : ses capacités de production sont des plus intéressantes. Et ce rapport de la Poffin S.A. me semble être tout à fait indiqué pour ma démonstration.
[quote=Rapport 18-4672B]
Nos premières expériences ont été extrêmement décevantes, puisque les Tropius ne produisaient que des fruits rabougris, qui pourrissaient avant de parvenir à maturité. Heureusement, nous avons rapidement découvert l'origine de ce problème : leurs enclos. Parqués dans un entrepôt, les Tropius, privés de lumière solaire en quantité suffisante, dépérissaient. Nous nous sommes donc empressés de les sortir et de les placer dans d'énormes volières extérieures, pour ne pas qu'il s'enfuient ; la qualité des fruits s'en est trouvée grandement améliorée. Cependant, la production restait trop faible à notre goût, avec la production de seulement 2 régimes de bananes par an.
Et c'est là qu'intervient l'une des avancées technologiques majeures de ces dernières années : le Dream World. Avec leur nouvelle capacité spéciale, couplés à un Feunard qui intensifie les rayons du soleil, les Tropius sont à même, si on les nourrit suffisamment (avec du fourrage, et quelques bananes de temps en temps), de produire un nouveau régime 12h seulement après qu'on ait prélevé le précédent, ce qui nous assure de la viabilité financière du projet. Bien sûr, cela n'a pas été sans peine, et sans quelques pertes : les premiers Tropius, qui étaient en permanence associés au Feunard, produisaient sans s'arrêter et finissaient pas mourir de puiser dans leurs réserves, extrêmement amaigris. Ce problème est maintenant réglé, et des journées sans Feunard ont été instaurées.
Enfin, et c'est une nouvelle qui nous réjouit énormément, il semble que certains Tropius soient capables, si on leur présente d'autres fruits que des bananes, de les synthétiser sous leur cou. Un programme de sélection génétique à été mis en place, et nous ne doutons pas de pouvoir, d'ici quelques générations, leur faire copier n'importe quel végétal que nous leur présenterons. Cela bouleverserait les commerces mondiaux de framboises et de cacao, par exemple, mais aurait aussi des applications dans beaucoup d'autres domaines, comme la décoration (la famille royale anglaise nous a déjà commandé des Tropius au cou orné de roses rouges), mais aussi l'armement, avec la possibilité de bombardement aériens de noix de coco ou de lâchers de spores toxiques...
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[spoiler=Sujet Thêta]
1- Est-ce malgrès un physique quelques peut ingrat c'est vrai ne nous voilons pas la face, que du haut de ses deux mètres pour cent Kilo grammes que le Pokémon numéro 357 du PokéDex National;Tropius fut conçut pour pouvoir profité pleinement des forts taux d'ensoleillement et d'humidité des zones tropicales par un consortium de producteur de primeurs avides de monétaires.
2- Mais dans le même laps de temps, les premiers spécimens de race Tropius ayant eu vent d'un sentiment de liberté provenant de cette exploitation en masse, de part leur type Plante/Vol partirent sous d'autres latitudes plus clémentes.
3- D'ailleurs il n'est pas rare d'en croisé plus où moins à l'état sauvage en zone forestière,mais à la différence d'autres pokémon il dispose d'un camouflage naturel très élaboré et donc peu passé inaperçu pour les novices et non-initié dans leur nouvel environnement d'adoption.
4- La chair de ses fruits est très prisée de la Communauté des pêcheurs des spécimens du type Eau de base; d'après les sondages de l'institut TRAIL' ;les entrées 118,129,349 et 370 apparaissent le plus souvent.
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Wiktooore - 29 mars 2012 à 17:37
J'ai parcouru, ça a l'air dans l'ensemble pas mal, je lis le tout et je note/commente.
vivien28 - 29 mars 2012 à 18:16
T'aurais pas un peu niqué ma théorie lors du copier-coller Phénix ?
C'est bon, j'ai tout replacé
Je lis tout et je vote.
vivien28 - 29 mars 2012 à 18:23
Sujet Alpha
Sujet Delta
Sujet Zêta
Efferalgan - 29 mars 2012 à 18:25
On n'a le droit qu'à 3 votes.
Je vote pour les sujets Ε ε, Ζ ζ, Η η.
vivien28 - 29 mars 2012 à 18:27
J'ai édité.
Answer - 29 mars 2012 à 19:00
Y'en a qui ne se sont pas défoncés, c'est dommage (Trail :'( ). Cela dit j'ai bien aimé les théories exposées.
Bon, votons :
Sujet Zêta
Sujet Eta
Sujet Epsilon
Bee - 29 mars 2012 à 19:34
& Sujet Alpha
2) Sujet Eta
3) Sujet Zêta
:haulas:
Efferalgan - 29 mars 2012 à 20:23
Who is this guy ?
Answer - 29 mars 2012 à 20:46
Pas la moindre idée. DC.
vivien28 - 30 mars 2012 à 23:13
Votez salopes
vivien28 - 30 mars 2012 à 23:15
Pas la moindre idée. DC.
la alpha est de moi mais j'ai fait aucun dc
Phénix - 3 avril 2012 à 12:08
Sujet Zêta
Sujet Epsilon
Sujet Êta
Sainior - 3 avril 2012 à 20:40
Zêta
Êta
Delta
jujugold - 4 avril 2012 à 01:29
Êta
Zêta
Epsilon
Dark-Evoli - 4 avril 2012 à 15:24
Sujet Zêta
Sujet Eta
Sujet Epsilon
Je suis victime de mon manque d'illustration. Maibon maybe next time.
Phénix - 8 avril 2012 à 17:47
Sachant que suite à mon déménagement récent, j'ai une connexion Internet on ne peut plus instable, je déduis que le temps supplémentaire que vous avez obtenu en conséquence était largement suffisant pour voter.
En conséquence, voici les résultats du premier round :
Sujet Alpha : 2 votes
Sujet Bêta : 0 vote
Sujet Gamma : 0 vote
Sujet Zêta : 6 votes
Sujet Delta : 2 votes
Sujet Epsilon : 5 votes
Sujet Êta : 5 votes
Sujet Thêta : 1 vote
Conclusion : ce sont les rédacteurs des sujets Bêta et Gamma qui sont éliminés lors de ce premier round, ainsi que les 5 autres retardataires.
Rendez-vous dans une semaine pour les prochains rounds.
Efferalgan - 8 avril 2012 à 22:29
Non. Θ n'a pas eu de vote non plus. Soit on vire Β, Γ, et Θ, soit on n'en gicle que 2, auquel cas il faut les départager.
