Pour vous, c'est quoi le jeu vidéo ?
Ang3l - 18 octobre 2012 à 17:20 Vous avez quatre heures. Calculatrice autorisée.
BlueSteel - 18 octobre 2012 à 17:21 c la vi
Ang3l - 18 octobre 2012 à 17:23 Ceci est une question sérieuse. Je veux vraiment savoir ce que représente le jeu vidéo pour vous, comment vous l'expérimentez. N'hésitez pas à me pondre un pavé gigantesque, j'aime ça.
Sasu - 18 octobre 2012 à 17:23 Une passion.
Sasu - 18 octobre 2012 à 17:24 & flemme de faire un pavé, téléphone tout ça...
Keats - 18 octobre 2012 à 17:28 Une drogue pour certains L'occasion de claquer du blé aussi
thocast de pf - 18 octobre 2012 à 17:32 L'audace, c’est ça.
titouan369 - 18 octobre 2012 à 17:54 résumons: le jeu vidéo c’est la vie. le jeu vidéo c'est génial.
John-John - 18 octobre 2012 à 17:54 Putain je sais pas comment répondre sans avoir l'air emo. :(
titouan369 - 18 octobre 2012 à 17:59 moi je peut pas passer 24 heure sans sa devient une dorogue
The Miz - 18 octobre 2012 à 18:00 Un loisir me prenant de moins en moins de temps les années passant.
Sasu - 18 octobre 2012 à 18:25 > Un loisir me prenant de moins en moins de temps les années passant. Je m'attendais à une réponse du style : Resident Evil. :huhu:
Dark-Evoli - 18 octobre 2012 à 18:34 Une fenêtre pour s'évader de la morosité de la vie quotidienne. Et un loisir à plein temps depuis 1985/6 pour ma part.
John-John - 18 octobre 2012 à 18:34 > Putain je sais pas comment répondre sans avoir l'air emo. :( > Une fenêtre pour s'évader de la morosité de la vie quotidienne. Voilà merci.
BlueSteel - 18 octobre 2012 à 18:36 > Une fenêtre pour s'évader de la morosité de la vie quotidienne. Et un loisir à plein temps depuis 2001/2 pour ma part.
Ulquiorra - 18 octobre 2012 à 18:37 Les jeux vidéos c'est des jeux et c'est aussi de l'art 1pe, 2en1 de feulie.
A-Ry - 18 octobre 2012 à 19:13 J'ai envie de faire un long pavé mais je le ferais après. Mais pour faire simple le jeux-vidéo est au même titre et que le cinéma ou la poésie: Un art, quelque chose qui transcende, fait bouger toute les fibres du corps, transperce le coeur, fait réfléchir. Le jeux vidéo, c'est une histoire, des moments, des souvenirs ainsi que des moments de plaisir. C'est le 8ème art.
Wiktooore - 18 octobre 2012 à 19:14 Un truc que je commence souvent et que je finis rarement
Ulquiorra - 18 octobre 2012 à 19:15 DD le JV au mieux ça peut être le 10ème art, 8 et 9 c'est déjà pris. :°
A-Ry - 18 octobre 2012 à 19:33 Et ce sont quoi?
Wyvernili - 18 octobre 2012 à 19:37 Les jeux je me drogue avec tant que je peux avant d'avoir une vie sociale décente.
Ulquiorra - 18 octobre 2012 à 19:47 > Et ce sont quoi? GIYF
Two-Wan - 18 octobre 2012 à 19:50 Je ferais peut etre un pavé ce WE (en fait comptez pas deçu, trop long). Mais le JV, c'est quand même ce qui m'a aidé à grandir sur certains aspect, ça peut paraitre con, mais ça transporte pas mal de valeur, et ça laisse à réfléchir sur certaines choses (à mon époque, pas sur que t'apprenne quoi que ce soit avec les JV récent).
Ulquiorra - 18 octobre 2012 à 19:56 kwa kwa kwa ? Serait-ce le cri du nostalgia-fag que j'entends ? :**D
Aurablade - 18 octobre 2012 à 20:12 > Les jeux vidéos c'est des jeux et c'est aussi de l'art 1pe, 2en1 de feulie. Oui. Perso j'considère surtout ça comme un passe-temps, et aussi un art en voyant des trucs comme Okami, Final Fantasy (Le VI, le IV le X et quand même le VII dans mon kokoro <3 ) C'est aussi un sujet de conversation intéressant et un moyen de se trouver des potes ou une bonne communauté :°
Ang3l - 18 octobre 2012 à 20:49 Les mecs, vous me décevez. Je m'attendais franchement à mieux de votre part. Il y a tellement à dire sur le jeu vidéo que je ne sais vraiment pas par où commencer. On dit souvent, de plus en plus souvent même, que le jeu vidéo est un art. Certains cependant font la distinction entre art et jeu. Par exemple, il y aurait des jeux artistiques et d'autres jeux non-artistiques. Dans cette première catégorie, on retrouve bien souvent des titres tels que Ico, Shadow of the Colossus, ou Heavy Rain, tandis que dans la deuxième, il s'agit plus de titres comme Call of Duty, Fifa, Super Mario Bros, Pokémon, ou autre. Je ne suis pas tout à fait d'accord. Ayant fait du game design je ne peux pas m'empêcher de voir une direction artistique conséquente derrière chaque jeu, excepté ceux qui représentent la réalité, ou quelque chose qui se rapproche beaucoup trop de notre monde. Pour moi un jeu tel que Call of Duty n'a aucun intérêt artistique, alors qu'un jeu tel que, disons, Metal Gear Solid, dégage une profondeur impressionnante. Le problème, avec l'art, c'est que personne ne le ressent de la même manière. On peut ne pas s'émerveiller devant La Joconde et pleurer de joie en regardant le plafond de la chapelle Sixtine. C'est le cas pour toutes les formes d'art, que ce soit la peinture, la littérature, la musique, ou même le jeu vidéo. Chacun a sa propre expérience, chacun sa propre sensibilité. Et comme tout art qui se respecte, le jeu vidéo rassemble. Le jeu vidéo, comme tout art qui se respecte, peut véhiculer des émotions. De l'empathie, de la colère en passant par la surprise. Mais le jeu vidéo peut transmettre deux autres émotions supplémentaires : la première, est le rire. En cumulant à la fois les statuts d'art et de loisir, le jeu vidéo a quelque chose de particulier. Car les parties entre amis créent des souvenirs impérissables. Votre première course sur Super Mario Kart, votre première victoire au tournoi local Pokémon, les tournois entre potes sur Soul Calibur... Le jeu vidéo rassemble en tant qu'art et de loisir. On dit que le jeu vidéo renferme les gens sur eux-mêmes ; dans mon cas, il a élargi les horizons. Je ne sais pas si c'est mon point de vue de game designer qui me fait penser ainsi, mais c'est le jeu vidéo qui m'a donné envie de m'intéresser au monde. De me promener sur un sentier en admirant la flore. De me balader dans les rues de Montpellier pour admirer l'architecture et imaginer leur histoire. De voir des machines et d'essayer d'en comprendre ou d'en inventer un fonctionnement. En cela, le jeu vidéo est clairement un art. Il éveille les gens au monde. Ma plus grande peur sur le jeu vidéo, c'est que l'on se l'approprie pour l'argent, comme ça a été le cas pour le cinéma notamment. Bien entendu, en tant que produit, le jeu vidéo, comme toute oeuvre d'art, et soumise aux lois du commerce. Mais je trouve malsaine l'idée de produire des jeux vidéo pour de l'argent, comme le font Activision et Electronic Arts, entre autres. Au risque de paraître naïf, le jeu vidéo doit rester un plaisir avant d'être un business. L'éditeur ne doit pas vendre un produit, il doit vendre du rêve. Heureusement, de la même manière que la musique, le cinéma et la littérature se sont faits approprier par de grands groupes qui en font leur business en jetant de la poudre aux yeux, je garde espoir qu'il y aura toujours un groupe de créateurs qui proposeront des oeuvres intéressantes, que ce soit du point de vue artistique ou du point de vue ludique. Oui le jeu vidéo est un art. Mais en le considérant uniquement comme tel on tend vers une dérive dangereuse. Personnellement je suis totalement insensible à Heavy Rain malgré la direction artistique. Chacun son expérience. La première fois que le jeu vidéo m'a fait comprendre la vie, c'est en jouant à Super Mario 64. Mon premier jeu vraiment à moi. Ce jeu représentait un défi pour moi. J'avais 6 ans, j'étais pas encore totalement initié au jeu vidéo même si j'avais déjà joué à des jeux NES ou SNES. Ma famille m'aidait un peu ici et là, je me souviens de ma mère qui a réussi à attraper une pièce rouge perchée que je n'arrivais pas à obtenir dans la Forteresse Thwomp, comment mon père m'aidait avec les pingouins dans le premier monde de neige, et mes cousines qui m'aidaient à résoudre les énigmes du Manoir Boo. Peu à peu j'ai appris. Peu à peu ce jeu me mettait à l'épreuve. La collecte des étoiles, tout ça. Ah j'en ai perdu des vies, pour en arriver là. J'en ai perdu des vies pour battre Bowser. Et quand je l'ai enfin battu, la joie. Ça y est. J'avais réussi. Tout seul. Et la musique des crédits. Cette musique qui me disait clairement "ça y est mec, c'est fini, tu es un héros, tu as sauvé la princesse". Je ne me rappelle pas avoir versé une larme mais c'est la première fois qu'un jeu vidéo m'a réellement ému. Et tel est la seconde émotion que seul le jeu vidéo peut apporter : la réjouissance. Le jeu vidéo est le seul art interactif, tu n'es plus spectateur, mais acteur. Tu es mis dans un univers dont la survie, dont l'issue ne dépend que de toi. C'est cette quête imposée au joueur qui transcende la simple notion d'art et procure la plus puissante des sensations. Tu n'imagines plus, tu agis. C'est ce même sentiment d'accomplissement que tu as quand tu finis Metal Gear Solid, quand tu bats Ganondorf dans sa forme finale, quand tu domines une dernière fois l'équipe de ton rival ou du maître à la Ligue Pokémon. Le jeu vidéo, c'est la vie. Ulquiorra - 18 octobre 2012 à 20:53 On dirait tous les posts précédents avec plein de bla dedans huhu.
Ang3l - 18 octobre 2012 à 20:56 Oh, en substance j'ai rajouté énormément de choses.
Ulquiorra - 18 octobre 2012 à 21:01 Vivivivivivi
BlueSteel - 18 octobre 2012 à 21:07 > Les mecs, vous me décevez. Je m'attendais franchement à mieux de votre part. Il y a tellement à dire sur le jeu vidéo que je ne sais vraiment pas par où commencer. On dit souvent, de plus en plus souvent même, que le jeu vidéo est un art. Certains cependant font la distinction entre art et jeu. Par exemple, il y aurait des jeux artistiques et d'autres jeux non-artistiques. Dans cette première catégorie, on retrouve bien souvent des titres tels que Ico, Shadow of the Colossus, ou Heavy Rain, tandis que dans la deuxième, il s'agit plus de titres comme Call of Duty, Fifa, Super Mario Bros, Pokémon, ou autre. Je ne suis pas tout à fait d'accord. Ayant fait du game design je ne peux pas m'empêcher de voir une direction artistique conséquente derrière chaque jeu, excepté ceux qui représentent la réalité, ou quelque chose qui se rapproche beaucoup trop de notre monde. Pour moi un jeu tel que Call of Duty n'a aucun intérêt artistique, alors qu'un jeu tel que, disons, Metal Gear Solid, dégage une profondeur impressionnante. Le problème, avec l'art, c'est que personne ne le ressent de la même manière. On peut ne pas s'émerveiller devant La Joconde et pleurer de joie en regardant le plafond de la chapelle Sixtine. C'est le cas pour toutes les formes d'art, que ce soit la peinture, la littérature, la musique, ou même le jeu vidéo. Chacun a sa propre expérience, chacun sa propre sensibilité. Et comme tout art qui se respecte, le jeu vidéo rassemble. Le jeu vidéo, comme tout art qui se respecte, peut véhiculer des émotions. De l'empathie, de la colère en passant par la surprise. Mais le jeu vidéo peut transmettre deux autres émotions supplémentaires : la première, est le rire. En cumulant à la fois les statuts d'art et de loisir, le jeu vidéo a quelque chose de particulier. Car les parties entre amis créent des souvenirs impérissables. Votre première course sur Super Mario Kart, votre première victoire au tournoi local Pokémon, les tournois entre potes sur Soul Calibur... Le jeu vidéo rassemble en tant qu'art et de loisir. On dit que le jeu vidéo renferme les gens sur eux-mêmes ; dans mon cas, il a élargi les horizons. Je ne sais pas si c'est mon point de vue de game designer qui me fait penser ainsi, mais c'est le jeu vidéo qui m'a donné envie de m'intéresser au monde. De me promener sur un sentier en admirant la flore. De me balader dans les rues de Montpellier pour admirer l'architecture et imaginer leur histoire. De voir des machines et d'essayer d'en comprendre ou d'en inventer un fonctionnement. En cela, le jeu vidéo est clairement un art. Il éveille les gens au monde. Ma plus grande peur sur le jeu vidéo, c'est que l'on se l'approprie pour l'argent, comme ça a été le cas pour le cinéma notamment. Bien entendu, en tant que produit, le jeu vidéo, comme toute oeuvre d'art, et soumise aux lois du commerce. Mais je trouve malsaine l'idée de produire des jeux vidéo pour de l'argent, comme le font Activision et Electronic Arts, entre autres. Au risque de paraître naïf, le jeu vidéo doit rester un plaisir avant d'être un business. L'éditeur ne doit pas vendre un produit, il doit vendre du rêve. Heureusement, de la même manière que la musique, le cinéma et la littérature se sont faits approprier par de grands groupes qui en font leur business en jetant de la poudre aux yeux, je garde espoir qu'il y aura toujours un groupe de créateurs qui proposeront des oeuvres intéressantes, que ce soit du point de vue artistique ou du point de vue ludique. Oui le jeu vidéo est un art. Mais en le considérant uniquement comme tel on tend vers une dérive dangereuse. Personnellement je suis totalement insensible à Heavy Rain malgré la direction artistique. Chacun son expérience. La première fois que le jeu vidéo m'a fait comprendre la vie, c'est en jouant à Super Mario 64. Mon premier jeu vraiment à moi. Ce jeu représentait un défi pour moi. J'avais 6 ans, j'étais pas encore totalement initié au jeu vidéo même si j'avais déjà joué à des jeux NES ou SNES. Ma famille m'aidait un peu ici et là, je me souviens de ma mère qui a réussi à attraper une pièce rouge perchée que je n'arrivais pas à obtenir dans la Forteresse Thwomp, comment mon père m'aidait avec les pingouins dans le premier monde de neige, et mes cousines qui m'aidaient à résoudre les énigmes du Manoir Boo. Peu à peu j'ai appris. Peu à peu ce jeu me mettait à l'épreuve. La collecte des étoiles, tout ça. Ah j'en ai perdu des vies, pour en arriver là. J'en ai perdu des vies pour battre Bowser. Et quand je l'ai enfin battu, la joie. Ça y est. J'avais réussi. Tout seul. Et la musique des crédits. Cette musique qui me disait clairement "ça y est mec, c'est fini, tu es un héros, tu as sauvé la princesse". Je ne me rappelle pas avoir versé une larme mais c'est la première fois qu'un jeu vidéo m'a réellement ému. Et tel est la seconde émotion que seul le jeu vidéo peut apporter : la réjouissance. Le jeu vidéo est le seul art interactif, tu n'es plus spectateur, mais acteur. Tu es mis dans un univers dont la survie, dont l'issue ne dépend que de toi. C'est cette quête imposée au joueur qui transcende la simple notion d'art et procure la plus puissante des sensations. Tu n'imagines plus, tu agis. C'est ce même sentiment d'accomplissement que tu as quand tu finis Metal Gear Solid, quand tu bats Ganondorf dans sa forme finale, quand tu domines une dernière fois l'équipe de ton rival ou du maître à la Ligue Pokémon. Le jeu vidéo, c'est la vie. Je...je...je... vivien28 - 18 octobre 2012 à 21:09 Un Univers. Une ambiance. Un jeu-vidéo techniquement réussi qui n'a pas ces aspects-là est pour moi un échec. Un jeu-vidéo techniquement foiré mais qui propose un univers qui me fait rêver est une réussite. La seule chose que j'attends d'un j-v et qu'il élargisse le monde que je me suis forgé avec de nouveaux éléments et de nouvelles idées. Oui ça fait John-John mais c'est pas grave. Je développerai peut-être après
Najaa - 19 octobre 2012 à 01:30 Une illusion. Mais une illusion vitale, cette fausse sensation de liberté, cette échappatoire vers un monde meilleur où nos tourments disparaissent et dans lequel tout est permis. L'incomparable déni ludique de la réalité, où le temps s'arrête d'une simple pression du doigt, où les actes n'ont d'autre conséquence que l’endorphine libéré dans notre cortex cérébral, nul echec irrémédiable, nul couperet au dessus de nos tête, les chances sont infini et le rêve est à porté de main. Ce mirage éphémère qui piétine inlassablement nos craintes d'un revers de joystick, le partage de cette fuite avec d'autres prisonniers de cette lamentable réalité, longue et pénible. Le jeu vidéo est un mensonge auquel j'aime croire.
vivien28 - 19 octobre 2012 à 07:19 Putain tu vois que tu peux être vachement cool J'approuve particulièrement la dernière phrase
thocast de pf - 19 octobre 2012 à 08:27 > Une illusion. Mais une illusion vitale, cette fausse sensation de liberté, cette échappatoire vers un monde meilleur où nos tourments disparaissent et dans lequel tout est permis. L'incomparable déni ludique de la réalité, où le temps s'arrête d'une simple pression du doigt, où les actes n'ont d'autre conséquence que l’endorphine libéré dans notre cortex cérébral, nul echec irrémédiable, nul couperet au dessus de nos tête, les chances sont infini et le rêve est à porté de main. Ce mirage éphémère qui piétine inlassablement nos craintes d'un revers de joystick, le partage de cette fuite avec d'autres prisonniers de cette lamentable réalité, longue et pénible. Le jeu vidéo est un mensonge auquel j'aime croire. doubleplusbon
CZERO - 19 octobre 2012 à 10:32 Un passe-temps. En même temps je ne joue quasi qu'à des jeux du genre donc difficile d'en penser autre chose.
thocast de pf - 19 octobre 2012 à 10:35 doupleplusinbon
Wallace - 19 octobre 2012 à 10:37 > Une illusion. Mais une illusion vitale, cette fausse sensation de liberté, cette échappatoire vers un monde meilleur où nos tourments disparaissent et dans lequel tout est permis. L'incomparable déni ludique de la réalité, où le temps s'arrête d'une simple pression du doigt, où les actes n'ont d'autre conséquence que l’endorphine libéré dans notre cortex cérébral, nul echec irrémédiable, nul couperet au dessus de nos tête, les chances sont infini et le rêve est à porté de main. Ce mirage éphémère qui piétine inlassablement nos craintes d'un revers de joystick, le partage de cette fuite avec d'autres prisonniers de cette lamentable réalité, longue et pénible. Le jeu vidéo est un mensonge auquel j'aime croire. :haulas: Le jeu vidéo c'est un livre sans l'imagination, avec la possibilité d’opérer ses propres choix en plus
Gros Belial** - 19 octobre 2012 à 11:30 J'ai vu le post de Tom. Faut que je parle aussi, mais je sais pas par où commencer.
