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[Autres] Pensées Lezahniennes
Lezahna - 13 novembre 2010 à 19:21
Non ceci n'est pas une copie.
J'ai trouvé l'idée de Simoh plutôt sympathique en soi, & j'ai décidé d'y faire ici la même chose. J'éditerai régulièrement (ou pas) dans ce post, chaque pensée étant illustré par une date de fin d'édition sous spoiler.
Si vous désirez réagir par rapport à une pensée particulière, prière de signaler dans votre post la date de ladite pensée. Merci.
[spoiler=Samedi 13 Novembre 2010 à 19h33]Une quantité gargantuesque de travail s'écroule sur mes épaules. Une série d'examens de contrôles continus, un effort régulier, & de l'investissement personnel, voici ce qui m'attend.
Je lève les yeux : tant de livres possédés, & qui méritent d'être lus. Le temps. Voilà ce qu'il me manque. Non pas le temps tel qu'on le définit, mais plutôt sa continuité. J'aimerais pouvoir figer le temps à chaque projet que j'entame, dans l'espoir que le soleil ne se couche pas de là à ce que je termine ce projet.
Mes yeux se cernent tous les soirs. Le sommeil me gagne trop aisément, & j'aimerais connaître le moyen de lutter sans en subir les conséquences. J'aimerais remplacer ce temps d'inactivité par un long moment d'écoute musicale. Il y a en plus de cela une liste qui s'élève à quelques centaines d'artistes près de moi : elle attend d'être téléchargée. J'aimerais un lecteur MP3 qui supporte des milliers de gigaoctets..
Puis le temps revient à la charge : "PRENDS LE TEMPS de te doucher ; PRENDS LE TEMPS de manger ; PRENDS LE TEMPS de lire ce merveilleux bouquin de Lermontov ; PRENDS LE TEMPS de dormir".
Qu'importe. Si jamais je me mettais à établir l'agenda de mes objectifs futurs, ma vie n'en serait que plus énervante, si je venais à manquer de temps pour l'un de ces objectifs. J'ai toujours préféré agir selon mon humeur, en tout cas en ce qui concerne ce qui m'affecte moi, & seulement moi (études, travail, santé). Le reste n'est que secondaire, & facilement réalisable.
Ainsi va la vie. Ainsi va ma vie. Un temps qu'on ne rattrape pas, qu'on regrette, puis qu'on finit par oublier, par remplacer pour une excitation plus récente..[/spoiler]
[spoiler=Mercredi 17 Novembre 2010 à 17h26]Vide. Totalement vide. Toute cette ferveur, cette flamme, ce courage.. Tout est parti. Il me faut une quelconque motivation, une sensation de bien-être pour repartir. La fin du cannabis est proche. Je me repentis, pour une façon agréable de vivre. Le travail se remet en place. L'amour de l'avenir. Une nuit & c'est reparti ; tout ce qui était parti revient. Motivation. Sensation de bien-être.
[...]
Allons ! La nuit tombe, il faut se remettre d'aplomb. Une nuit fraîche & sèche. Comme du chanvre que l'on viendrait de cueillir. Tais-toi donc ! Non. Sois toi-même ! Sois fier de ta réputation ! Bientôt, ça va revenir. C'est proche..
[...]
Suicide cérébral.[/spoiler]
[spoiler=Vendredi 19 Novembre 2010 à 20h46]Ça me revient maintenant. La sensation de faim, la vraie ; non pas celle que l'on ressent lorsque l'on a fumé du cannabis, ou lorsque l'on attend l'heure du midi. Bientôt 10 heures que je n'ai pas mangé. Étant éveillé, donc épuisant seconde après seconde mon énergie, je ne perçois que trop bien le vide intersidéral qui noue mon estomac. Un trou noir qui réclame de la malbouffe à foison.
Je me rends compte, en ces circonstances, que la faim empêche de penser convenablement. Le ramadan, ou le jeûne, doivent être des épreuves terribles. Il s'agit là d'une très grande entreprise. Un jour, je la tenterai. Mais je me tiendrai éloigné de toute vie sociale, afin de ne pas céder à la tentation de la mastication..
La faim est la dégradation de l'être humain face autant circonstanciel : il dure, perdure, & l'affamé endure. C'est ignoble de laisser des gens mourir de faim. Avoir faim constamment, c'est connaître la raison future de sa propre mort. Ce n'est pas tant la faim qui est effrayante, mais plutôt son issue sur la durée.
Je vais dîner.[/spoiler]
[spoiler=Vendredi 04 Mars 2011 à 02h57]Nous n'avons pas besoin de l'éducation ! Un peu de Pink Floyd est en chacun de nous ! Nous devons nous révolter, soulever une anarchie totale ! Faire péter les murs de l'emprisonnement cérébrale ! Noyer le poisson politique, affranchir les soumis, délivrer les dépendances et les impuretés de la tristesse collective ! Regardez cette foule, tout cet océan de gens, de masses humaines, de globes creux et trous noirs, ces oiseaux réfugiés qui planent sur eux, cette nostalgie d'un monde ancien nouveau, les croisements du passé, du présent, du futur, et peut-être même ces gens pensent-ils à leur délivrance ! L'heure du nouveau « nous » a sonné ! A bas les coutumes préétablies et les traditions déformées ! Vive la liberté vraie, l'abolition de l'accoutumance invertueuse ! Conspiration, compromission, humiliation ! Exécution ![/spoiler]
[spoiler=Dimanche 01 Mai 2011 à 22h06]Il fait encore nuit. J'ai les yeux rouges de fatigue, un léger mal de crâne, une toux grasse et les cheveux ébouriffés. Je ressemble à un zombie, qui a lui-même été rongé par diverses maladies. L'un des plaisirs de la vie que je préfère, c'est me passer de l'eau fraîche sur le visage : cette sensation de métamorphose, de renaissance me vivifie pour la journée – ou pour la matinée, c'est à voir. J'ai froid, j'aurais peut-être dû porter autre chose qu'un simple caleçon. L'urine orange, je ressens la soirée d'hier. Il faut que je m'allume une cigarette. Roulée à la manière d'un fumeur vétéran, je grille la petite sur mon toit, en regardant la clarté du ciel étoilé. C'est si rare de pouvoir apprécier ce tableau à mi-chemin entre la pénombre de la nuit et les faibles lueurs de l'aube. Je ne pense à rien. J'entends quelques voitures au loin, un écho mystérieux. Une étoile filante ! Merde ! Je me suis brûlé le torse avec ma clope ! Je me redresse, attendant son appel désespérément.[/spoiler]
[spoiler=Dimanche 25 Septembre 2011 à 21h51][...]l'histoire d'un psychédélisme farfelu, l’apaisante sensation de ne plus être soi. Elle me propose un peu de LSD pour apprécier la soirée d'une autre façon. Quoi ? Un sucre ? Non merci. Une goutte, dix euros. D'accord. Ah merde, deux, trois, c'est énorme..
Un rire léger, puis un rictus, l'effarante émotion du bien-être. Fou rire, larmes, manque d'oxygène. Je respire enfin. Je ferme les yeux, me laisse tomber sur ce sol poussiéreux. Je les ouvre, je sombre. Le ciel tout entier s'effondre sur moi, je sens son oppression peser sur ma poitrine, mon crâne est lourd. Je ne peux plus bouger, je perçois ces quelques étoiles tournoyer d'une manière si originale que je parviens à distinguer des constellations inexistantes. Puis, j'y entrevois une forme d'amour, je la vois parfaitement maintenant, c'est elle. Je souris, je parviens enfin à me relever.
Toutes ces silhouettes, des décombres inaccessibles. Ils dansent, rythment mon coeur, les basses sont puissantes, je ressens des lames sabreuses découper finement chacune de mes entrailles. Tout se rapproche & s'éloigne, je peux.. voir.. le son ? Des ondes rondes, colorées, qui donnent vie à toutes ces ombres ternies par un besoin solennel & collectif d'être percutées par ce son.. Je touche mon coeur, il bat en un unique accord musical. Je ne sens plus mes jambes, elles m'entraînent devant ce mur gargantuesque : je lui parle, le remercie d'être là pour moi, puis je plonge ma tête en son sein, & je m'efface. L'âtre de mes pensées se révèle aussi vide que la poche maternelle d'un Jupiter encore inexistant. Le temps n'a plus d'importance, la réalité devient abstraite, telle une matrice dont on se contrefout. Je reste là, inlassablement, durant des heures. Mes membres tremblent, mes yeux se raidissent, mais j'ai mal quelque part..
J'en ressors, & je m'étale faiblement sur la contre-prairie de cette étendue marécageuse. Je constate que mes jambes ne tiennent plus, que je suis assoiffé, affamé, & que mes mai.. à qui sont ces mains ? Quel mouvement délicieux, cet arrondi ralenti, cette complexité d'accords entre chaque doigt, cette grâce..
Le jour s'est levé, j'aperçois des centaines de visages tout aussi déconnectés que le mien. Chacun vit en son monde, & chaque monde vit en eux. Je reste bouche bée, observant, m'extasiant sur la formidable beauté de chaque être présent. Je trouve une bouteille de bière encore inutilisée, je bois tout d'un trait. Puis je pars, chancelant sur un pied, je manque la chute à plusieurs reprises, je sors un pull du coffre de la voiture, puis je vais m'isoler dans la forêt voisine.
La nature se fait magnifique ce matin. Elle me murmure quelques conseils de vie, elle me dit à quel point elle m'aime, & je cours pour lui signifier combien je me sens bien en elle. Je m'allonge au milieu de ces herbes touffues, je vois quelques oiseaux passer, des rouge-gorges, des pies, des moineaux, & d'autres bestioles dont je ne connais pas le nom. J'entends le moindre bruit de branche, d'insecte, & je perçois encore les basses de l'aube. Je recommence enfin à penser avec lucidité, & je profite de cette expérience pour repenser à tous les moments divins que ma vie m'a apportés. Je m'endors, tombe dans des songes encore plus irréels, & je réalise enfin comment la vie devrait être lorsqu'on est sobre.[/spoiler]
[spoiler=Mercredi 16 Novembre 2011 à 18h28]Je dis "au revoir !" à Aziz, puis je pars, un peu léger, ignorant les regards de tous ces étudiants se posant sur mes yeux rouges & mes pupilles dilatées. Chaque fois que je passe près de quelqu'un, il me semble que je titube, que j'oublie comment marcher. J'ai oublié mes lunettes de soleil : il n'y a pas plus découvert, selon moi, que les yeux. Dans la rue, ils incarnent l'intimité absolue, la gène, il n'est pas très confortable de croiser un regard sans approche préalable.. [...]puis je monte dans le bus, rempli de ces gens bizarres, comme toute la population de ma chère ville. Je vais m'asseoir au fond, je mets le casque sur mes oreilles, puis je lance l'iPod en mode aléatoire. Je tombe sur cette chanson absolument fabuleuse de Walter Meego ; j'oublie d'en regarder le titre. On verra ça plus tard. Ce soleil de merde me tape sur les nerfs, mes yeux se raidissent, un mal de crâne se profile, je dois cesser d'écouter cette musique stridente.. J'ai chaud, je suffoque. Tout le monde descend. Je change de place, puis j'admire une dernière fois le coucher de soleil, soleil si apaisant quand il sait se faire discret. Je suis ébloui par ces nuances d'orange, de rose & de violet. Je retombe dans une sorte d'enfance, appréciant à nouveau quelques saveurs que peuvent nous apporter nos sens. Je profite de voir, pour admirer le coucher de soleil. Plus tard, quand j'arrive à mon arrêt de bus, je remonte le chemin longeant la forêt, trempée par les pluies diluviennes de la semaine dernière ; aujourd'hui il a fait beau, le vent a soufflé, & les odeurs fraîches des écorces me chatouillent les narines. Je peux sentir le bois pourri, le bois sec, & le bois nouveau, les dernières feuilles tombant jusqu'au sol pour montrer à nous humains que l'hiver approche. Je lève les yeux & regarde les étoiles : je me sens bien.[/spoiler]
[spoiler=Samedi 04 Février 2012 à 22h24]Je montai dans la voiture, croisant les doigts, serrant mon chapelet contre ma poitrine, lorgnant sur le Teddy Bear qui pendouillait sur le rétroviseur intérieur.
Ce matin-là, j'avais mis de l'encens indien dans ma chambre, afin d'être concentré sur ma lecture de la biographie d'Alexandre II par Hélène Carrière d'Encausse. Je sirotais une bouteille de Coca Cola, en regardant le plafond, cherchant l'inspiration. Je me sentais magnifique, avant de poser les yeux sur les quelques pots de tabac éparpillés le long de mes étagères. J'avais ensuite pris ma guitare pour composer un morceau sur l'acide. Je sentais comme une dépression passagère, folâtre & naissante.
[...] Je conduisis en direction de Nulle-Part, comme ça arrive parfois à chacun d'entre nous. J'aimais ça, errer, ne jamais savoir où aller. Je m'arrêtai dans la cambrousse verdoyante, écoutant l'appel de Mère Nature. Je descendis lentement de ma voiture, la fermai à clé, & m'enfonçai paisiblement sur un sentier, laissant mes pensées de côté pour autoriser mes émotions à se frayer un chemin. Tout était si reposé que j'entendais presque clairement le piano neurasthénique qui jouait dans ma tête, le violon dépravé d'espoir, & les échos de cette voix souffrante, qui disait "Ask yourself how it is going..". Je m'assis sur un rocher, à l'ombre d'un arbre dont les branches semblaient couler, & dont les feuilles paraissaient mourantes, molles, délicatement secouées par une brise fraîche. Je restai là, à contempler, seulement admirer les parcelles de paysage qui s'offraient à ma vue. Ni pensée, ni imagination, ni fantasme, seulement une réalité pleine d'émotion, du brut, du sauvage. Parfois, quelques animaux passaient ça & là. Je n'y prêtais qu'une faible attention. C'était la vie, & cela se révélait parfaitement normal. Parfaitement. A quelques moments, j'entendais les arbres bercés par le vent, comme s'ils désiraient me chuchoter le secret, ce que je devais faire. J'eus l'envie de leur demander en quoi consistait ma condition. J'eus l'audace d'appliquer mon oreille contre leurs écorces, afin d'écouter chacun de leurs secrets. Mais je les entendais respirer, rien d'autre. Peut-être n'avaient-ils eux-mêmes pas la réponse.
Je repartis, conquis par une idée que je ne saurais jamais exprimer, un sentiment libérateur, & à la fois oppressant, celui selon lequel j'étais condamné à rester un homme, à ne jamais connaître la sensation d'un bonheur absolu, d'une rédemption probatoire à mon statut lamentable d'être humain. Je rentrai chez moi, m'allumai un joint en ayant précautionneusement dosé le tout, rendis hommage à Dieu pour cet unique plaisir que je perçois, puis lui fis signe d'aller se faire mettre en recrachant la fumée dans sa direction. [/spoiler]
supersam2 - 14 novembre 2010 à 00:11
Ton style me fatigue man.
Lezahna - 14 novembre 2010 à 00:15
C'est parce que je suis fatigué en ce moment. & j'ai bien trop de pensées en tête, j'ai le cerveau qui fond.
Lezahna - 17 novembre 2010 à 19:59
Màj.
Buck - 17 novembre 2010 à 20:03
Ça fait très écrivain gay.
Lezahna - 17 novembre 2010 à 20:15
Ce n'est en aucun cas de la littérature, mais simplement la retranscription de mes pensées à mes heures perdues.
Lezahna - 19 novembre 2010 à 21:10
Màj.
supersam2 - 8 décembre 2010 à 23:00
Style toujours aussi long avec la moitié des mots qui servent pas a exprimer mais a styliser l'expression => relou a lire
Lezahna - 9 décembre 2010 à 09:25
Style toujours aussi long avec la moitié des mots qui servent pas a exprimer mais a styliser l'expression => relou a lire
Tu n'y es pas obligé, ce n'est que la transcription immédiate de mes pensées. Désolé de penser avec trop de style (H)
S-H - 26 décembre 2010 à 16:00
En tout cas, t'as beaucoup de choses dans la tête
On sent la fatigue sur tes écrits, isn't it ?
Lezahna - 26 décembre 2010 à 16:14
L'extirpation cérébrale de mes capacités, accentuée par une fatigue incessante. Je ne sais plus ce qu'est "être en forme", & je m'y accommode.
Draphyp - 26 décembre 2010 à 18:42
Putain mec elle est pas cool ta vie snif, du suicide, etc... t'y penses au suicide, tout ces jeux que tu va laisser derrière toi, tu as encore une longue pour voir la 30ième génération de pokemon... :you:
S-H - 26 décembre 2010 à 19:15
Putain mec elle est pas cool ta vie snif, du suicide, etc... t'y penses au suicide, tout ces jeux que tu va laisser derrière toi, tu as encore une longue pour voir la 30ième génération de pokemon... :you:
Heu ... ?! WTF Mec ? :black:
Mec ne t'accomode pas à ce fait, essaye de bouger quelque part et dors beaucoup
Lezahna - 26 décembre 2010 à 19:17
Putain mec elle est pas cool ta vie snif, du suicide, etc... t'y penses au suicide, tout ces jeux que tu va laisser derrière toi, tu as encore une longue pour voir la 30ième génération de pokemon... :you:
Ok t'es en BEP c'est ça ?
Draphyp - 26 décembre 2010 à 19:44
Euh non, pas du tou je suis en 1°S
S-H - 26 décembre 2010 à 20:01
O_________________________o
Lezahna - 4 mars 2011 à 02:59
[spoiler=Vendredi 04 Mars 2011 à 02h57]Nous n'avons pas besoin de l'éducation ! Un peu de Pink Floyd est en chacun de nous ! Nous devons nous révolter, soulever une anarchie totale ! Faire péter les murs de l'emprisonnement cérébrale ! Noyer le poisson politique, affranchir les soumis, délivrer les dépendances et les impuretés de la tristesse collective ! Regardez cette foule, tout cet océan de gens, de masses humaines, de globes creux et trous noirs, ces oiseaux réfugiés qui planent sur eux, cette nostalgie d'un monde ancien nouveau, les croisements du passé, du présent, du futur, et peut-être même ces gens pensent-ils à leur délivrance ! L'heure du nouveau « nous » a sonné ! A bas les coutumes préétablies et les traditions déformées ! Vive la liberté vraie, l'abolition de l'accoutumance invertueuse ! Conspiration, compromission, humiliation ! Exécution ![/spoiler]
MAJ : ) c'est un extrait du roman que je suis en train d'écrire (ou plutôt un recueil de pensées, & j'y mettrai la bande-son adéquate quand je l'aurai terminé : ) ).
supersam2 - 4 mars 2011 à 08:09
K_MAS tu veux refaire mai 68?
M2K - 4 mars 2011 à 08:13
haha lol leza va révolutionner le monde de chez lui en écoutant du pink floyd
Lezahna - 4 mars 2011 à 12:28
K_MAS tu veux refaire mai 68?
roman
réalité
débat
Lezahna - 4 mars 2011 à 12:29
haha lol leza va révolutionner le monde de chez lui en écoutant du pink floyd
Mais mec, leurs paroles sont si profondes :'( leur musique est imbattable, ce sont des dieux !!
ze torres - 12 avril 2011 à 16:20
JamesPas :/
Il y a trop de mots pour une simple idée :/
Lezahna - 12 avril 2011 à 16:50
Désolé de ne pas rentrer dans le système scolaire :/
Lezahna - 12 avril 2011 à 16:52
Bref, j'ai commencé à écrire un roman, en plusieurs parties (peut-être seront-elles indépendantes les unes des autres). Je ne le publierai sûrement jamais, ne serait-ce que sur Internet, car il reste beaucoup trop intime, personnel, & est donc réservé à la stricte élite me connaissant. Les différentes parties du roman seront basées sur les évènements très importants dans la vie de plusieurs personnages qui ne se sont jamais rencontrés & ont des vies opposées. Je me réserve le spleen final : ) j'ai ma petite idée, je réfléchis à comment l'exploiter le plus correctement possible.
ze torres - 12 avril 2011 à 17:00
Désolé de ne pas rentrer dans le système scolaire :/
C'est cool, t'acceptes les critiques.
Et, en effet, ton travail n'entre pas dans le système scolaire, t'imagines pas les méfaits pour les enfants s'ils devaient lire ça...
:ahah: (Petit émo pour rappeler que ce commentaire n'est pas (entièrement) méchant.
Lezahna - 12 avril 2011 à 19:17
En fait, je n'aime écrire que quand je me sens mal. C'est plus une libération spirituelle qu'un réel travail de soi.
ze torres - 13 avril 2011 à 10:45
Comme moi, je gratte des dizaines de pages quand je me sens mal. Ensuite je les déchire :ahah:
Lezahna - 13 avril 2011 à 11:27
Comme moi, je gratte des dizaines de pages quand je me sens mal. Ensuite je les déchire :ahah:
Je ne jette, n'efface, ou ne supprime jamais ce que j'écris, aussi mauvais que ce soit :/
ze torres - 13 avril 2011 à 11:41
Mouà si ! :O En fait, si tu as passé une mauvaise journée. Tu l'écris et tu la déchires.
En fait, tu as l'impression de te "libérer" de ta journée, de la supprimer. :orly:
Et voilà je passe pour un taré :domo:
Lezahna - 13 avril 2011 à 18:06
Oui. Chaque écrit représente un état passé de ton être. Il faut tous les garder !
ze torres - 15 avril 2011 à 10:50
Bah j'vois pas l'utilité de garder un message du genre:
"Salut, aujourd'hui ma copine m'a plaqué ! Je suis très très triste ! J'ai l'impression de voir son visage furieux à chacun des clignements qu'effectuent mes yeux. Mon coeur se déchire lorsque je vois d'autres couples, et patata-patati, triste, patata, triste et encore triste." :you:
downhill - 15 avril 2011 à 21:49
Ben si, il faut savoir se rappeler de tous ces moments si désagréables. Il ne faut surtout pas fermer les yeux sur ces choses là, ta vie n'est pas toute rose, il faut savoir accepter les moments où l'on va mal, et les affronter.
Car ta réaction "d'effacer" un moment pas très joyeux est assez caractéristique d'un esprit simple et faible... :/
Lezahna - 15 avril 2011 à 23:02
Bah j'vois pas l'utilité de garder un message du genre:
"Salut, aujourd'hui ma copine m'a plaqué ! Je suis très très triste ! J'ai l'impression de voir son visage furieux à chacun des clignements qu'effectuent mes yeux. Mon coeur se déchire lorsque je vois d'autres couples, et patata-patati, triste, patata, triste et encore triste." :you:
D'une, si tu as l'habitude d'écrire des trucs de ce style, ça craint. De deux, nos moments de souffrance sont les plus grands moments de notre vie, bien plus forts que ceux de bonheur.
Lastar - 15 avril 2011 à 23:05
Parce que les moments de bonheur sont rares voire inexistants, c'est plus des grands moments de joies, sinon, ils seraient bien plus marquants.
Lezahna - 15 avril 2011 à 23:07
Sans la souffrance, on ne se rendrait même pas compte qu'on est heureux..
Lastar - 15 avril 2011 à 23:09
Je ne dis pas qu'ils sont pas capitaux, mais les moments de bonheur restent plus forts s'ils existaient vraiment.
Lezahna - 15 avril 2011 à 23:11
La souffrance est psychologique, c'est pour ça qu'on s'en souvient à jamais. Les moments de bonheur sont liés aux sens la plupart du temps (rapport à la Beauté, etc.).
Lastar - 15 avril 2011 à 23:13
C'est plutôt les moments de joies, le bonheur dépasse la/les simple(s) perception(s) sensorielle(s).
Lezahna - 15 avril 2011 à 23:21
Justement, tu crois quoi ? Ce sont les instants joyeux qui te rendent heureux. La joie est le ressenti, le bonheur est l'état. & on ne se rend pas heureux en pensant, à moins d'être totalement imbu de soi.
Lastar - 15 avril 2011 à 23:24
Certes, tu souffre bien plus en pensant à un souvenir douloureux, que tu n'euphorise en pensant à un souvenir heureux.
Mais le bonheur n'est pas que le simple état.
Lezahna - 16 avril 2011 à 00:48
Explique-moi.
ze torres - 16 avril 2011 à 11:15
Ben si, il faut savoir se rappeler de tous ces moments si désagréables. Il ne faut surtout pas fermer les yeux sur ces choses là, ta vie n'est pas toute rose, il faut savoir accepter les moments où l'on va mal, et les affronter.
Car ta réaction "d'effacer" un moment pas très joyeux est assez caractéristique d'un esprit simple et faible... :/
Je citais un exemple, la copine, c'est pas vraiment important, surtout à mon âge.
Les fois où je suis passé en mode: j'écris, je déchire. C'était quand j'ai perdu des êtres chers.
downhill - 16 avril 2011 à 12:30
Nan mais ton exemple je m'en foutais.
Je te parlais du reste, des moments vraiment déprimants, où je ne comprend vraiment pas ta réaction...
ze torres - 16 avril 2011 à 12:52
Ah.
Beh, comme je l'ai dit plus haut, je ne le fais qu'en cas de 'tragédie' ça m'empêche de pleurer :you:
Lastar - 16 avril 2011 à 14:15
Explique-moi.
Je ne saurais fournir une belle explication, mais de mon point de vue, ça dépasse l'état simple, c'est plus quelque chose de transcendant, qui transcende donc les sens, un truc unique, durable, pas une simple joie passagère, ou du moins limitée dans le temps, c'est un truc qui te prend par l'estomac et t'euphorise jusqu'au bout de la bite, ça sublime le ressenti et l'état. Un truc où même toutes tes plus grandes souffrances se trouvent annihilées, où tu te sens aussi bien dans ton corps que dans ta tête. C'est le bonheur quoi.
Lezahna - 16 avril 2011 à 15:04
& d'après toi ce n'est pas un état ? Selon moi, ça ressemble de près à une illusion, voire une hallucination, étant donné que tout ce qui est autour est zappé. Le bonheur pourrait, d'après toi, être atteint en prenant des substances hallucinogènes, ou bien en atteignant un tel sommet de souffrances que plus rien n'a d'importance hormis se sentir bien.
Lastar - 16 avril 2011 à 15:05
Le bonheur ne peut pas être atteint, et non le fait de planer n'est qu'une illusion, le bonheur est bien présent.
Lezahna - 16 avril 2011 à 15:09
Je pense pas être d'accord avec toi. Sauf si pour toi le bonheur est en quelque sorte une métaphore de ce que l'on pense du Paradis. En ce cas, le bonheur ne peut être atteint, du moins du vivant.
Lastar - 16 avril 2011 à 15:13
C'est ça, du vivant, je ne pense pas qu'on puisse l'atteindre, et bon pour la métaphore, mais bon le Paradis, je reste sceptique sur ce sujet.
Lezahna - 16 avril 2011 à 15:16
Plutôt la vision qu'on se fait de la vie au Paradis.
Lastar - 16 avril 2011 à 15:19
Ouais voilà.
Vision ou illusion.
ze torres - 16 avril 2011 à 16:39
Vous cassez pas la tête ! Le bonheur c'est quand on rit aux éclats :baffan:
Lastar - 16 avril 2011 à 16:40
Ce n'est justement pas le cas, merci de ne pas participer inutilement.
ze torres - 16 avril 2011 à 19:10
Merci d'être un minimum agréable :orly:
Et pour rappel, on parlait d'un récit, ce n'est pas un débat philosophique donc quelque part, c'est toi qui participe inutilement :ahah:
Lezahna - 16 avril 2011 à 19:45
J'aime qu'on débatte sur mes écrits ^^
Lezahna - 1 mai 2011 à 22:08
Màj.
Lezahna - 25 septembre 2011 à 22:12
Nouveau post.
Tyel - 25 septembre 2011 à 22:36
Je ferme les yeux, me laisse tomber sur ce sol poussiéreux.
Fen - 25 septembre 2011 à 22:36
Drogue omniprésente, grand fou :'
J'aime ton style. Je ne suis pas forcément touchée par tes thèmes, mais l'écriture les transcende assez pour que tes pensées en deviennent poétiques
Lezahna - 25 septembre 2011 à 22:46
Je ferme les yeux, me laisse tomber sur ce sol poussiéreux.
Tu devines aisément qu'il s'agit d'une de mes expériences de rave-party =p !
Drogue omniprésente, grand fou :'
J'aime ton style. Je ne suis pas forcément touchée par tes thèmes, mais l'écriture les transcende assez pour que tes pensées en deviennent poétiques
Je ne suis pas non plus touché par mes thèmes, enfin, je ne mène pas vraiment de travail sur la recherche, juste lorsque j'ai envie d'écrire, je dégueule tout ce que je pense d'un trait. Là c'est plutôt un exercice de style que de réels écrits, y'a même pas de relecture derrière =p
Bref merci je suis profondément profond.
Lastar - 27 septembre 2011 à 20:56
Toujours un style que j'apprécie sans pour autant apprécier le fond de tes textes.
J'aime vraiment comment c'est "craché".
Lezahna - 27 septembre 2011 à 21:12
J'en ai plein d'autres cachés dans des croquis ou des morceaux de papiers traînant dans des meubles, mais bon flemme de les taper, c'était surtout beau sur le coup. Ca me permet d'évacuer aussi un peu.
Lastar - 27 septembre 2011 à 21:13
Osef envoie, & mets ta galerie à jour aussi avec de nouveaux trucs stp.
Lezahna - 27 septembre 2011 à 21:18
Ouais mais je suis pas très créatif en dessin en ce moment, ça reviendra peut-être, mais je suis pas dans une période où j'aime dessiner sorry :/
Obsede rime - 1 novembre 2011 à 19:13
Ouais mais je suis pas très créatif en dessin en ce moment, ça reviendra peut-être, mais je suis pas dans une période où j'aime dessiner sorry :/
Holy shit dude t'ecrit trop bien vraiment tes en literature ou de quoi de meme?
Wiktooore - 1 novembre 2011 à 19:35
Oui, il l'est
Answer - 2 novembre 2011 à 15:18
Faudrait que j'ouvre un topic du même genre aussi, t'écris bien, ça donne envie de te connaître en vrai. :biere:
Je peux dire tg à Obsede truc sinon?
Lezahna - 3 novembre 2011 à 19:00
Ouais mais je suis pas très créatif en dessin en ce moment, ça reviendra peut-être, mais je suis pas dans une période où j'aime dessiner sorry :/
Holy shit dude t'ecrit trop bien vraiment tes en literature ou de quoi de meme?
J'ai fait L, mais ce ne sont pas les cours qui m'ont aidé à acquérir l'écriture que je possède.
Bof, bof le dernier.
Il n'y a pas de matière au niveau du fond, quant à la forme, j'ai l'impression qu'elle s'épuise. Ton style est mal retranscrit, du moins j'en ai l'impression.
Lezahna - 3 décembre 2011 à 23:05
Y'a pas de forme, ni de fond. Ce ne sont que des pensées, mec, je ne les travaille pas, je les expose seulement. J'avais besoin d'étaler ce moment de cette journée bien précise.
Je pourrais faire un écrit sur le parano qui m'a accosté dans le bus avec les illuminatis, mais non, je ne ressens pas le besoin de tout projeter sur ce topic.
M2K - 3 décembre 2011 à 23:07
Raconte stp :ahah:
Lastar - 3 décembre 2011 à 23:10
Non mais la dernière m'as l'air bien plus brumeuse que le reste.
M'enfin bref, raconte oui, fait pas ta bite.
Lezahna - 3 décembre 2011 à 23:26
Oui, disons que je me suis empressé de retranscrire au plus vite ce que j'avais ressenti ce jour-là, pour ne pas en perdre une miette. Un peu comme ces gens qui se pressent d'écrire leurs rêves avant qu'ils ne s'effacent de leur mémoire.
Bon, vite fait alors : en gros, je sors d'une dure journée d'étudiant, je monte dans l'avant-dernier bus pour mon bled : il ne reste plus de place du tout, sauf sur la lignée du fond. Je m'y rends donc, & un arabe m'accoste. Le type commence à me parler alors que j'ai le casque sur les oreilles, premier point qui me dérange, déjà. Il commence à me déballer tout un discours sur comment le monde est manipulé par "ces connards de franc-maçons, ces illuminatis de mes couilles". Il pète régulièrement des câbles en soutenant qu'on lui aurait implanté une puce, lors d'une nuit, pour surveiller ses dires & ses gestes. On lui injecterait de la drogue durant son sommeil, on viendrait le voir chez lui pour le menacer & le torturer tant physiquement que moralement, car il en sait trop & parle trop fort. Son père se serait suicidé car aurait subi le même sort. Par ailleurs, il me fait part de ses problèmes de santé, ses migraines récurrentes à cause de ladite puce.
Ayant donc affaire à un fou complet, je ne peux que l'écouter sans rechigner, sous peine d'en crever (je ne préférais pas prendre le risque). Alors il se met à insulter la société, "tous ces fils de pute qui font les ignorants, ils ne savent rien ces fils de pute, regarde-les moi ces putains de moutons !", dit-il en hurlant vers toute la population du bus. Ils semblent tous dérangés par l'attitude de ce mec. Il me dit alors que les fous ne sont pas fous, ce sont seulement des mecs qui en savent trop, qui s'intéressent trop aux questions existentielles & qui sont donc placés en asile par de hautes instances. En soi, sur ce point, j'étais assez d'accord avec lui : bon nombre de gens sont placés en HP car leurs âmes ont disjoncté à cause de révélations ou de réflexions trop fortes pour un simple humain. Ensuite, pour calmer un peu le jeu & qu'il cesse d'insulter les gens aussi ouvertement, je me suis pris à la discussion & lui ai posé des questions sur ses motivations, sur "pourquoi tu penses tout ça ? quelles preuves peux-tu m'apporter ?". Le voyant galérer, j'ai tout de suite cessé mes questions : j'ai quelques potes devenus paranos, mais eux à cause des acides abondamment pris en teuf, & je connais leurs réactions brutales face à l'incompréhension des gens ou d'eux-mêmes parfois. Alors je lui ai parlé de ce dont un pote m'a lui-même parlé, ce même jour : la conspiration des Ummites : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ummo , pour plus d'informations.
Bref, j'ai donc essayé de lui exposer mes théories, pour qu'il s'arrête de m'embrouiller & de me faire peur ("n'aie pas peur hein ?", c'est ce qu'il me répétait continuellement quand je m'égarais dans mes pensées lors de ses réflexions abrutissantes). Puis, pris de lassitude, je suis descendu à mi-chemin, pour enfin me libérer de son oppression. Je suis donc allé à Salon de Provence prendre un café dans le bar le plus proche de mon arrêt. Manque de bol, c'était un café miteux bourré de poivrots. Une demi-heure à attendre dans le froid, à décompresser de cette éprouvante discussion, puis je suis enfin rentré chez moi.
Je l'ai revu quelques jours après au fond du bus, je me suis calé le plus près possible du chauffeur.
M2K - 3 décembre 2011 à 23:33
tg
Lezahna - 3 décembre 2011 à 23:35
BITCH !
Lastar - 3 décembre 2011 à 23:39
Sociopathe.
Lezahna - 3 décembre 2011 à 23:48
Moi ? :huhu:
Lastar - 3 décembre 2011 à 23:49
Oui.
Bien plus que l'autre dégénéré.
Lezahna - 4 décembre 2011 à 00:08
mdrrrrrrrrrrrrrrrr
Lezahna - 4 décembre 2011 à 00:09
Poste des photos de toi sur le trombi s'il-te-bite.
Ecoutez ça en même temps que vous lisez le texte du 4 Février 2012.
M2K - 8 février 2012 à 20:50
on s'en fout
thocast de pf - 8 février 2012 à 20:54
Je me fais pitié.
M2K - 8 février 2012 à 21:05
Toi arrête de t'auto-clasher pour que les autres trouvent plus rien à redire.
thocast de pf - 8 février 2012 à 21:06
C'est vrai, je suis lamentable à faire ça sérieux.
Lezahna - 8 février 2012 à 22:54
Vous devez conspuer pour mon talent.
Ivy Maital - 8 février 2012 à 23:03
Conspuer pour c'est français ça? Je connaissais pas la tournure ???
M2K - 8 février 2012 à 23:11
Non seulement ils lisent pas tes délires littéraires mais en plus ils te corrigent sur un mot mdrrrrrrr
Ivy Maital - 8 février 2012 à 23:14
Je fais que demander, j'en sais rien et flemme d'aller vérifier.
Et si j'ai lu (enfin que le dernier par contre).
Lezahna - 8 février 2012 à 23:16
Non seulement ils lisent pas tes délires littéraires mais en plus ils te corrigent sur un mot mdrrrrrrr
Euh ok, apprenez votre français avant de prétendre me corriger, si au moins vous en avez un chez vous.
M2K - 8 février 2012 à 23:21
J'ai pas dit qu'il avait raison non plus. Mais il me semble que "Vous conspuez à cause de mon talent" ou "Vous conspuez contre mon talent" sont les deux tournures correctes selon le sens recherché ici.
Lezahna - 8 février 2012 à 23:23
J'ai toujours vu ce mot comme dans le sens de "manifester" : vous devez "descendre dans la rue" pour "supporter mon talent". En bons sous-fifres.
M2K - 8 février 2012 à 23:32
Oh, t'as juste oublié l'usage du conditionnel alors.
VanderCronch - 1 décembre 2012 à 22:45
Bon, ce up est une décision qui s'impose. Les pensées Lezahniennes, même si tout le monde n'est pas d'accord sur le style ou même le fond, ont quand même amené un peu de réflexions intéressantes, ce serait vraiment dommage que ça sombre. K MAS, tu en as encore sous la main?
Tu nous fait goûter un peu de ton roman perso?
J'aime bien ta manière d'écrire, je ne sais pas si tu l'as gardée, mais c'est... vivant. Pas dans le sens "mouvement", mais on imagine bien chaque chose.
Lezahna - 1 décembre 2012 à 22:48
désormais j'écris mes pensées sur des carnets, ça m'a gavé d'exposer des trucs ici en n'ayant que des retours quasiment négatifs, j'en vois pas trop l'intérêt, mais si un jour je me sens j'en foutrai deux ou trois histoire de te montrer
VanderCronch - 1 décembre 2012 à 22:52
Merci. N'hésite pas, ceux qui aiment sont souvent ceux qui parlent le moins, et tout du moins ceux qu'on entend le moins. Surtout sur le trash section Maison d'Edition, mais ça, je ne risque pas de te l'apprendre...
Et pour le roman?
Ulquiorra - 1 décembre 2012 à 22:53
Ivy a dû t'apprendre comment on cause la France onlala que de retours négatifs.
Dis juste que ça t'a gavé de poster ici tout court.
Enfin ça reste domaj, tes posts ici c'est déjà on ne peut plus intéressant que les fanfics cheloues qui trainent dans les parages. :m
Lezahna - 1 décembre 2012 à 23:00
ulqui : non ça m'a pas gavé, c'est juste que recevoir que des commentaires chiants & logiques dans la mesure où je balance pas ça pour le style mais pour la pensée, c'est devenu relou, ou bien alors parfois je postais & j'avais jamais aucune réponse mdrrr donc je me sentais trop lu
vk : pour le roman, y'a rien qui se fait depuis un moment, j'ai trop de trucs à gérer dans ma vie depuis des mois & j'ai pas le temps pour les futilités du coup
Ulquiorra - 1 décembre 2012 à 23:56
Je parlais pas spécialement des fics de Shiroi onfait. :J
VanderCronch - 2 décembre 2012 à 00:09
Boah, c'est juste que j'ai moins de cas de conscience à attaquer un bipien. C'est un atavisme, rien de plus.
Lezahna - 14 juillet 2013 à 16:33
Desole de la pietre qualite du texte mais je suis sur mon portable.
Jerre ici et la ; les gouffres mecaniques et hydrauliques mhypnotisent, berce par les eclats de lacier contre lacier, par les etincelles de silice en fusion, et je continue derrer, dans linsouciance abstruse dune journee sans volonte. Je ne sais pas ce que je veux car je ne sais pas vouloir. Je sais bien desirer mais je tourne en derision chacun de mes desirs, sachant pertinemment que ceux ci finiront dans ce gouffre eternel et lui aussi mecanique qui constitue le fond de mes pensees.
Je ne saurais vouloir car cela demande des sacrifices qui me paraissent injustifiables. Je ne peux vouloir sans donner ou remercier et cest ce qui constitue ma faiblesse vis a vis des autres. Que veux tu, me demande t on, et je ne sais jamais quoi repondre. Je reste la, inerte, touche par lopprobre de ne pouvoir savoir ce que mon etre veut. Et jerre, dans ma forteresse egaree, redoutant inlassablement le jour ou on me demandera la maniere dont je veux mourir.